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  • Auteurs: Ariette Prêle
  • Auteurs: Jacques Lob
  • Auteurs: Leandra Logan

N° 158 - Le berceau enchanté (Leandra Logan)

2,54 €
Etrange incarnation… Que faisait donc ce bébé dans son cabinet d'avocate ? avait songé Maggie, médusée, en découvrant sur sa table de travail un nourrisson emmailloté dans du linge étincelant de blancheur. Totalement désorientée, la jeune femme n'avait eu d'autre choix que d'emmener la petite fille chez elle, en attendant de retrouver ses parents. Et voilà que cet événement bouleversait sa vie ! Car Maggie allait de surprise en surprise : sa mère, d'ordinaire allergique aux nourrissons, se mettait à jouer les mamies gâteau. Son fiancé lui devenait brusquement insupportable. Et elle laissait un détective fauché et sans gêne s'installer dans ses locaux pour mener l'enquête sur les parents du bébé. Mais le plus étrange était l'enfant elle-même. Apparue dans les circonstances les plus mystérieuses, elle semblait posséder en plus des facultés exceptionnelles : avait-on jamais vu un nourrisson de sept mois se déplacer tout seul ? Et surtout, d'où venait cette lumière qui, la nuit, lui auréolait la tête ?

Blanche Épiphanie T1 (Jacques Lob, Georges Pichard)

8,95 €
Blanche Épiphanie, la petite porteuse de chèques Mais quelle est donc cette beauté frêle et émouvante, pauvrement vêtue, qui trottine d'un pas vif dans les beaux quartiers ? C'est Blanche Épiphanie, une enfant de 17 ans, orpheline de naissance, qui va livrer les chèques du banquier Adolphus pour un salaire de misère tout en essayant de protéger sa vertu…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait  : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1884 - A la lumière de cet été (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : A l'heure de la sieste, la maisonnée tout entière plongeait dans le silence. Chacun était libre de dormir où il voulait : dans l'ombre de la sapinette sur les aiguilles de pins qui revêtaient la mousse d'une natte sèche et luisante, dans le fenil obscur plein de l'entêtante odeur des herbes rêches, dans l'ancienne magnanerie si l'on ne craignait pas les mouches ou dans la « chambre verte » que Sheila préférait à tout le reste. Mais elle arrivait rarement à s'annexer ce lieu de délices situé dans une aile inhabitée de la demeure, baignée de lumière glauque et de fraîcheur particulièrement favorables au sommeil : Delia et sa mère l'occupaient à tour de rôle, sauf cet après-midi là, puisque depuis le matin elles étaient parties faire des courses en ville. Sadi — le mari de Délia — Chris, le frère de Sheila et de Délia, Chad Maddelin enfin, le chef de la famille, allaient choir sur des couches improvisées aux alentours de la maison : sapinette, fenil, voire même bûcher ou buanderie quand il faisait très chaud comme aujourd'hui…
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