Accueil

Accueil

Il y a 2 produits.

Affichage 1-2 de 2 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Gyp
  • Auteurs: Jacques Orbières
La Meilleure amie (Gyp) - Moderne-Bibliothèque - Arthème Fayard Editeur
  • Nouveau

La Meilleure amie (Gyp)

12,00 €
La Meilleure Amie (Gyp) Extrait chapitre I — Qu'est-ce que vous avez donc, ma petite Reinette ?… — demande la marquise douairière de Stenay en posant sur sa belle-fille un regard affectueux — je ne vous trouve pas votre bonne figure habituelle ?… — Rien, Maman… je n'ai rien… — répond la jeune femme en souriant… Puis, comme elle ne sait pas mentir, elle corrige gaiement : — C'est-à-dire, j'ai eu tout à l'heure une petite contrariété… Jean, l'aîné des petits de Stenay, un solide garçon de douze ans, abandonne un instant la côtelette qu'il dévorait, pour déclarer avec une brusquerie apitoyée : — Oh !… une petite contrariété !… Tu as pleuré !… — Est-ce possible ?… — fait le comte de Stenay stupéfait — Si j'avais pu supposer de cette… fantaisie vous tenait à coeur à ce point, je n'y aurais pas résisté comme je l'ai fait, ma chérie !… Je vous en demande pardon !… Maurice de Stenay se tourne vers son frère et ordonne en riant : — A genoux, Xavier !… Demande pardon à ta femme à genoux… — Ma foi !…, — fait Xavier sincère — j'en aurais presque envie… — Et maintenant… — questionne la Douairière — dis-nous de quoi tu as à lui demander pardon… si, toutefois… Son regard va vers le vieux maître d'hôtel, en discussion avec la gouvernante au sujet d'une tranche de melon qu'il veut donner malgré elle au plus petit des enfants. — Oh !… — dit le Comte qui a suivi le regard de sa mère — ce n'est pas un secret ! Reinette désirait inviter une de ses amies… — Ma meilleure amie… — interrompt la jeune femme. — Soit, sa meilleure amie… qu'elle n'a d'ailleurs pas vue depuis que nous sommes mariés. à venir passer l'été à Carolles… J'ai dit que ce serait insupportable !… Et voilà !…

N° 1145 - Le bonheur par le devoir (Jacques Orbières)

3,74 €
Extrait : — Alors, c'est dit, Paul, tu quittes tantôt ton agence d'où j'ai tant de mal à te sortir, et tu me consacres cette belle après-midi. Et coquette, gentille, Louise posait ses deux mains sur les épaules de son mari, certaine qu'il accepterait. Paul Berliet sourit à sa femme et fit enfin oui de la tête. Louise battit des mains. — Bravo !… La belle journée !… Nous irons ensemble faire un grand tour au Bois, comme deux amoureux. Vite, je m'habille. Paul quitta le fauteuil où il était assis et se promena un instant, le front barré par ses réflexions, tandis que sa femme, légère comme un oiseau, disparaissait du salon. Elle y revint un moment après, ayant fait rapidement sa toilette pour sortir. Elle était charmante, simple, pleine d'élégance et de goût. Paul la contempla un instant, puis ouvrit ses bras et la serra tendrement contre lui. — Ma chère, chère Louise ! murmura-t-il…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire