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  • Auteurs: Henri Troyat
  • Auteurs: Jacques Orbières
Viou (Henri Troyat) - Castor Poche N° 93 - Flammarion
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Viou (Henri Troyat) - Castor Poche N° 93

3,45 €
Viou, huit ans, vit depuis la mort de son père au Puy, chez ses grands-parents. Eloignée de sa mère par les circonstances, la vie lui paraît souvent monotone. Viou, au caractère entier et passionné, lutte sans cesse pour retrouver le souvenir de son père. Ses pensées et sa tendresse se tournent vers sa mère qui travaille à Paris. Entre sa grand-mère pieuse et austère que rien ne distrait de la mémoire de son fils disparu, et son grand-père malicieux mais lointain, Viou s'efforce d'affirmer à la fois son caractère et son goût dévorant de la vie.

La gouvernante française (Henri Troyat) - Castor Poche N° 368

2,74 €
C'est à la veille de la Révolution d'Octobre que Geneviève arrive à Saint-Pétersbourg. Elle a vingt-quatre ans, elle est française, gouvernante des enfants Borissov, et la vie lui semble pleine de promesses. Elle découvre, à travers ses yeux d'étrangère idéaliste, les premiers mois de l'insurrection bolchevique, le dénuement soudain des familles bourgeoises dépossédées de leurs biens, le danger, mais aussi la fougue qui anime les acteurs de ce drame. Geneviève va connaître la passion, la misère, la maladie, la désillusion aussi. Elle va tomber amoureuse de la Russie. Et rien, pas même son retour à Paris, ne pourra plus jamais la détourner de cet amour.

N° 1145 - Le bonheur par le devoir (Jacques Orbières)

3,74 €
Extrait : — Alors, c'est dit, Paul, tu quittes tantôt ton agence d'où j'ai tant de mal à te sortir, et tu me consacres cette belle après-midi. Et coquette, gentille, Louise posait ses deux mains sur les épaules de son mari, certaine qu'il accepterait. Paul Berliet sourit à sa femme et fit enfin oui de la tête. Louise battit des mains. — Bravo !… La belle journée !… Nous irons ensemble faire un grand tour au Bois, comme deux amoureux. Vite, je m'habille. Paul quitta le fauteuil où il était assis et se promena un instant, le front barré par ses réflexions, tandis que sa femme, légère comme un oiseau, disparaissait du salon. Elle y revint un moment après, ayant fait rapidement sa toilette pour sortir. Elle était charmante, simple, pleine d'élégance et de goût. Paul la contempla un instant, puis ouvrit ses bras et la serra tendrement contre lui. — Ma chère, chère Louise ! murmura-t-il…
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