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  • Auteurs: Gladys Davidson
  • Auteurs: Jacques Orbières
  • Auteurs: Jean-Marc Soyez

Bouvines ou les canons de bois (Jean-Marc Soyez) - Le livre de poche N° 231

2,56 €
Quatorze jours chauds pour Aubin et son cheval Soupe. Les ennemis vont se partager la France ? Pas question ! a dit le roi. En avant pour l'aventure ! Chevauchée, manigances, ambassade ou bombardement, Aubin est de tous les coups — jusqu'à la terrible bataille où, dans le fracas des armures, il se demande : « Comment démasquer un espion vêtu de fer jusqu'aux yeux ? » Mais, naturellement, il y arrive ! À partir de 11 ans.

Les brigands de la Saint-Michel (Jean-Marc Soyez) - Le livre de poche N° 190

2,74 €
Aubin Loisillon, apprenti charpentier, est un malin qui n'a pas les yeux dans sa poche. La repartie facile, insensible au vertige, il garde ses tendresses pour la jeune Agnès, son amie de toujours. A l'auberge paternelle et du haut des échafaudages de Notre-Dame, où il travaille, Aubin surprend un complot : une bande de brigands menace Paris ! Il y aura bagarre et tous n'en reviendront pas… À partir de 11 ans.

N° 706 - La rose magique (Gladys Davidson)

12,00 €
Extrait : I - Deux Princes Il était une fois un vieux Roi fort riche, qui avait un très méchant fils et un neveu très bon. Le fils se nommait le prince Ragio ; et ce nom lui allait à merveille, car on ne vit jamais Prince plus désagréable, plus laid, plus stupide, et d'un caractère plus mauvais, dans tout le Monde des fées. Personne ne l'aimait, et le peuple tremblait à la pensée qu'un jour il serait le maître ; car, au lieu de s'occuper des affaires de l'état, comme un Prince sage doit le faire, il passait tout son temps à s'amuser avec des compagnons de paresse, et il faisait toujours le mal partout où il allait. Sa mauvaise conduite était un perpétuel sujet de douleur pour son père, et le pauvre vieux Roi en fut devenu fou, n'eût été la bonté de son neveu, le prince Florizel, qui l'aidait de son mieux et lui était, en vérité, une grande consolation. Ce jeune Prince était aussi beau que son cousin était laid ; il était aimable, intelligent, plein de vaillance et de noblesse. Il assistait aux conseils et prêtait au vieux Roi toute l'assistance qu'il pouvait ; plus d'une fois, grâce à ses sages avis, on put se tirer d'ennuis causés par la conduite déréglée du prince Ragio. Le peuple aimait le prince Florizel, et l'aurait bien voulu pour Roi ; mais, pendant longtemps, il garda ce voeu secret, tant il craignait que le méchant Prince ne tuât son favori…

N° 1145 - Le bonheur par le devoir (Jacques Orbières)

3,74 €
Extrait : — Alors, c'est dit, Paul, tu quittes tantôt ton agence d'où j'ai tant de mal à te sortir, et tu me consacres cette belle après-midi. Et coquette, gentille, Louise posait ses deux mains sur les épaules de son mari, certaine qu'il accepterait. Paul Berliet sourit à sa femme et fit enfin oui de la tête. Louise battit des mains. — Bravo !… La belle journée !… Nous irons ensemble faire un grand tour au Bois, comme deux amoureux. Vite, je m'habille. Paul quitta le fauteuil où il était assis et se promena un instant, le front barré par ses réflexions, tandis que sa femme, légère comme un oiseau, disparaissait du salon. Elle y revint un moment après, ayant fait rapidement sa toilette pour sortir. Elle était charmante, simple, pleine d'élégance et de goût. Paul la contempla un instant, puis ouvrit ses bras et la serra tendrement contre lui. — Ma chère, chère Louise ! murmura-t-il…
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