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  • Auteurs: Jacques Orbières
  • Auteurs: Johannes Udhen
  • Auteurs: Sharon Francis

N° 254 - Claudia (Johannes Udhen)

2,95 €
Extrait : — Il fait une chaleur intolérable ! Et dire que tu as eu l'idée ridicule de venir ici et de choisir cette table en plein soleil, s'écria d'une voix acariâtre Mme Birkner, née von Castelat. — Une idée ridicule ! Vraiment ? Les enfants voulaient se baigner, toi aussi d'ailleurs, et vous trouvez qu'il y a trop de monde sur la plage et aux bains d'Undosa, tu te plains toujours de la chaleur ! Je ne connais pas à Starnberg d'autres lieux où l'on puisse se baigner. Mais si tu veux partir, cela m'est égal. Appelle les enfants, répondit M. Birkner exaspéré par les continuelles récriminations de son épouse. — Ah ! tu as le chic pour gâcher les vacances ! lui lança-t-elle, furieuse, en se levant pour aller à la recherche de ses filles. La mine renfrognée, Werner Birkner la suivit des yeux. Pour lui, une chose était certaine : ce n'était évidemment pas lui qui avait le « chic » pour gâcher les vacances !…

N° 36 - Sayonara, mon amour… (Sharon Francis)

2,12 €
Sandra, jeune professeur de sociologie, va enfin réaliser son rêve : écrire un ouvrage sur le Japon. Pour cela, il lui faut de l'aide, des introductions. Elle s'adresse tout de suite à Ivan Akira, dont l'influence est énorme dans les milieux intellectuels et financiers. Mais le bel Eurasien aux yeux si clairs ne la prend guère au sérieux, même s'il la trouve jolie et séduisante…

N° 254 - Claudia (Johannes Udhen)

2,95 €
Extrait : — Il fait une chaleur intolérable ! Et dire que tu as eu l'idée ridicule de venir ici et de choisir cette table en plein soleil, s'écria d'une voix acariâtre Mme Birkner, née von Castelat. — Une idée ridicule ! Vraiment ? Les enfants voulaient se baigner, toi aussi d'ailleurs, et vous trouvez qu'il y a trop de monde sur la plage et aux bains d'Undosa, tu te plains toujours de la chaleur ! Je ne connais pas à Starnberg d'autres lieux où l'on puisse se baigner. Mais si tu veux partir, cela m'est égal. Appelle les enfants, répondit M. Birkner exaspéré par les continuelles récriminations de son épouse. — Ah ! tu as le chic pour gâcher les vacances ! lui lança-t-elle, furieuse, en se levant pour aller à la recherche de ses filles. La mine renfrognée, Werner Birkner la suivit des yeux. Pour lui, une chose était certaine : ce n'était évidemment pas lui qui avait le « chic » pour gâcher les vacances !…

N° 1145 - Le bonheur par le devoir (Jacques Orbières)

3,74 €
Extrait : — Alors, c'est dit, Paul, tu quittes tantôt ton agence d'où j'ai tant de mal à te sortir, et tu me consacres cette belle après-midi. Et coquette, gentille, Louise posait ses deux mains sur les épaules de son mari, certaine qu'il accepterait. Paul Berliet sourit à sa femme et fit enfin oui de la tête. Louise battit des mains. — Bravo !… La belle journée !… Nous irons ensemble faire un grand tour au Bois, comme deux amoureux. Vite, je m'habille. Paul quitta le fauteuil où il était assis et se promena un instant, le front barré par ses réflexions, tandis que sa femme, légère comme un oiseau, disparaissait du salon. Elle y revint un moment après, ayant fait rapidement sa toilette pour sortir. Elle était charmante, simple, pleine d'élégance et de goût. Paul la contempla un instant, puis ouvrit ses bras et la serra tendrement contre lui. — Ma chère, chère Louise ! murmura-t-il…
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