Accueil

Accueil

Il y a 3 produits.

Affichage 1-3 de 3 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Daniel Defoe
  • Auteurs: Jacques Orbières
  • Auteurs: John Cleary
Tornade sur la ville d'après le roman de John Cleary - BS Lecture 3142
  • Nouveau

N° 3142 - Tornade sur la ville d'après le roman de John Cleary

2,90 €
Tornade sur la ville d'après le roman policier de John Cleary Extrait : Le temps commença à être menaçant le samedi soir. Ce n'était pas inhabituel à cette époque de l'année : quand l'hiver cède la place au printemps, le même type de temps se développe au-dessus du continent américain. Tard dans la soirée, un système de basses pressions permit la concentration de l'air froid et sec sur les pentes est des Montagnes Rocheuses tandis que vers le sud, des flots d'air chaud et humide émergèrent du golfe du Mexique. Les deux fronts, tels les éléments d'une armée, s'approchèrent inexorablement l'un de l'autre. A Kansas City, dans le Missouri, le centre de recherches météorologiques publia un premier bulletin : une tornade d'une grave intensité était en vue. Dans la ville de Friendship, au sud-ouest du Missouri, l'officier de service, Jack Atcheson, reçut le message à minuit et fit une note pour informer les radios locales…

N° 614 - Robinson Crusoé - 2e partie (Daniel de Foe)

4,90 €
Extrait : J'étais maintenant dans la vingt-troisième année de ma résidence en cette île, et si accoutumé à y vivre que, sans ma continuelle crainte des sauvages, j'aurais été content d'y passer le reste de mes jours et, à la fin, de me coucher pour mourir, comme le vieux bouc dans la grotte. Mon perroquet vivait encore — je l'eus avec moi pendant vingt-six ans — et nous tenions ensemble de longues conversations familières, auxquelles je trouvais un grand charme. Mon chien aussi avait été pour moi un compagnon fidèle et cher pendant seize ans, au bout desquels il mourut de vieillesse. Pour mes chats, ils s'étaient tellement multipliés et étaient devenus si incommodes que, de peur qu'ils ne me dévorassent, j'avais été obligé d'en tuer plusieurs à coups de fusil ; les autres s'enfuirent dans les bois, où ils retournèrent à l'état sauvage, à l'exception de deux ou trois que je gardai près de moi…

N° 1145 - Le bonheur par le devoir (Jacques Orbières)

3,74 €
Extrait : — Alors, c'est dit, Paul, tu quittes tantôt ton agence d'où j'ai tant de mal à te sortir, et tu me consacres cette belle après-midi. Et coquette, gentille, Louise posait ses deux mains sur les épaules de son mari, certaine qu'il accepterait. Paul Berliet sourit à sa femme et fit enfin oui de la tête. Louise battit des mains. — Bravo !… La belle journée !… Nous irons ensemble faire un grand tour au Bois, comme deux amoureux. Vite, je m'habille. Paul quitta le fauteuil où il était assis et se promena un instant, le front barré par ses réflexions, tandis que sa femme, légère comme un oiseau, disparaissait du salon. Elle y revint un moment après, ayant fait rapidement sa toilette pour sortir. Elle était charmante, simple, pleine d'élégance et de goût. Paul la contempla un instant, puis ouvrit ses bras et la serra tendrement contre lui. — Ma chère, chère Louise ! murmura-t-il…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire