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  • Auteurs: Dixie Browning
  • Auteurs: Jacques Orbières
  • Auteurs: Kate Jenkins

N° 445 - Comment épouser l'homme de ses rêves ? (Kate Jenkins)

2,15 €
— « Comment atteindre vos objectifs ? », c'est l'intitulé du séminaire auquel vous vous êtes inscrits, rappela l'animatrice. Pour commencer, et avant même que vous vous présentiez, je voudrais que chacun annonce clairement quel but il souhaite atteindre dans un avenir proche. Ce fut le début d'une longue et ennuyeuse énumération d'ambitions banales : tous les participants — des hommes en majorité — rêvaient de diriger une société en pleine expansion… Elaine étouffa un bâillement et quand vint son tour de parler, elle se leva nonchalamment, embrassa l'assemblée d'un regard malicieux pour ménager son effet, et formula sn objectif comme un défi : — Moi, je veux me marier avant a fin de l'année. A cet instant, Cory Murphy — qui jusque-là se mourait d'ennui —, ouvrit un oeil intéressé…

N° 576 - Quand la raison chavire (Dixie Browning)

2,06 €
De grâce, qu'on ne parle plus jamais de mariage à Daisy ! D'ailleurs, depuis qu'elle a divorcé, elle n'est plus la même femme. Indépendante et sûre d'elle, dotée d'une silhouette et d'une élégance de mannequin, elle sait éloigner d'un simple regard hautain les hommes les plus entreprenants. Quant aux autres, elle ne les voit même pas, car la gent masculine ne l'intéresse vraiment plus. Du moins a-t-elle voulu s'en persuader. Car lorsque surgit, un beau jour, sur une plage paradisiaque du Mexique, un mystérieux vacancier au teint pâle qui, loin de lui faire la cour, semble au contraire fort soucieux de garder ses distances, elle se sent soudain l'envie de commettre les pires folies...

N° 1145 - Le bonheur par le devoir (Jacques Orbières)

3,74 €
Extrait : — Alors, c'est dit, Paul, tu quittes tantôt ton agence d'où j'ai tant de mal à te sortir, et tu me consacres cette belle après-midi. Et coquette, gentille, Louise posait ses deux mains sur les épaules de son mari, certaine qu'il accepterait. Paul Berliet sourit à sa femme et fit enfin oui de la tête. Louise battit des mains. — Bravo !… La belle journée !… Nous irons ensemble faire un grand tour au Bois, comme deux amoureux. Vite, je m'habille. Paul quitta le fauteuil où il était assis et se promena un instant, le front barré par ses réflexions, tandis que sa femme, légère comme un oiseau, disparaissait du salon. Elle y revint un moment après, ayant fait rapidement sa toilette pour sortir. Elle était charmante, simple, pleine d'élégance et de goût. Paul la contempla un instant, puis ouvrit ses bras et la serra tendrement contre lui. — Ma chère, chère Louise ! murmura-t-il…
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