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  • Auteurs: Helen Kirkman
  • Auteurs: Jacques Orbières
  • Auteurs: Kathrin Schärer
Le renard qui ne voulait pas mourir (Kathrin Schärer) - Album Minedition
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Le renard qui ne voulait pas mourir (Kathrin Schärer)

7,15 €
Excellent instrument pour expliquer avec empathie aux enfants la disparition, inéluctable, des personnes âgées, ce livre raconte comment un renard trouve le moyen de ne plus mourir. Le monde, autour de lui, change. Les générations se succèdent. La vieillesse, la maladie, la solitude, accompagnent le renard et la mort finit par être pour lui préférable à la souffrance. Il l'accepte comme une délivrance. Les angoisses liées à la mort sont traitées ici avec une intelligence et un humour tellement subtils, que la mort, libératrice, finit presque par être sympathique au lecteur qui apprend à apprivoiser l'idée de la mort et à comprendre qu'elle fait, en fait, partie intégrante de la vie.

N° 279 - La princesse celte (Helen Kirkman)

2,55 €
Angleterre, an de grâce 716 Athelbrand le Saxon s'avança, superbe dans sa cape noire à parements d'or. Son regard capta celui de la femme qui lui faisait face, et sa main se crispa sur la garde de son glaive. Alina était aussi belle que dans son souvenir... Dès leur première rencontre, la princesse celte l'avait fasciné. Son visage semblait celui d'un ange, mais sa chevelure et ses yeux noirs évoquaient le mystère de la nuit, la violence de la passion. Pour elle, il avait tout sacrifié — en vain, car Alina l'avait trahi, le condamnant au déshonneur et à l'exil. Mais à présent, rétabli dans ses droits, il était venu chercher son dû. L'heure de la vengeance avait sonné...

N° 1145 - Le bonheur par le devoir (Jacques Orbières)

3,74 €
Extrait : — Alors, c'est dit, Paul, tu quittes tantôt ton agence d'où j'ai tant de mal à te sortir, et tu me consacres cette belle après-midi. Et coquette, gentille, Louise posait ses deux mains sur les épaules de son mari, certaine qu'il accepterait. Paul Berliet sourit à sa femme et fit enfin oui de la tête. Louise battit des mains. — Bravo !… La belle journée !… Nous irons ensemble faire un grand tour au Bois, comme deux amoureux. Vite, je m'habille. Paul quitta le fauteuil où il était assis et se promena un instant, le front barré par ses réflexions, tandis que sa femme, légère comme un oiseau, disparaissait du salon. Elle y revint un moment après, ayant fait rapidement sa toilette pour sortir. Elle était charmante, simple, pleine d'élégance et de goût. Paul la contempla un instant, puis ouvrit ses bras et la serra tendrement contre lui. — Ma chère, chère Louise ! murmura-t-il…
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