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  • Auteurs: C. Fongrave
  • Auteurs: Jacques Orbières
  • Auteurs: Marthe Rochenor

N° 127 - Les étoiles (Mlle L. Masse) - Histoire de moustique (Marthe Rochenor)

14,00 €
16 Gravures Introduction  : « Maman, pourquoi les étoiles ne tombent-elles pas ? On les attache tous les soirs ? dis. Où vont-elles le matin ? » ajouta le gentil petit enfant qui s'intéressait à tout. Nous pensons que vous tous avez posé ces mêmes questions à vos chers Parents, qui vous ont répondu que chaque petite étoile brillante est en réalité un grand soleil et que, si elles paraissent toutes si petites, c'est qu'elles sont très, très loin d'ici. Autrefois, il y a longtemps, les gens n'étaient pas aussi savants que maintenant et les grandes personnes en savaient moins que bien des petits garçons et des petites filles de notre époque, et la plupart ignoraient ce qu'étaient les étoiles. Ils s'imaginaient toutes sortes de choses, et comme rien ne leur semblait plus beau que les astres brillant dans le ciel, ils leur donnaient le nom de leurs héros et héroïnes. La nuit venue, les étoiles apparaissaient et ces braves gens les regardaient en disant : « Tiens, ce soir Orphée joue de la lyre ! Oh ! comme Castor et Pollx brillent ! » Et ils étaient bien contents. Vous savez bien, mes chers enfants, que toutes ces histoires ne sont que des légendes ; mais si vous les lisez, elles vous aideront à vous rappeler le nom des étoiles. Puissent ces contes vous intéresser, tout en sachant que ces dieux, ces déesses, ces princes et ces princesses, ces géants et ces monstres n'ont existé que dans l'imagination de ceux qui ont écrit leurs histoires !

N° 1031 - Ce que femme veut ! (C. Fongrave)

3,74 €
Extrait : Elle lui tenait les deux mains et le considérait avec tendresse : — Voyons, Pierre, du courage ! Père changera peut-être d'idée. Actuellement il semble buté et il serait dangereux de le harceler. Le jeune homme sourit avec amertume : — Si tu m'aimais autant que je t'aime, tu ne me conseillerais pas aussi aisément la patience. Des larmes brillèrent au bord de ses longs cils dorés et elle serra plus fort les mains de l'aimée : — Ne dis pas cela, tu me déchires le coeur. Je ne te conseille pas la patience, mais la sagesse. Père tient absolument à ce que son gendre soit riche ; il ne veut pas, prétend-il, que je connaisse la médiocrité dans laquelle il a vécu toute sa vie. Tu sais que cette pauvreté auprès de toi ne m'effrayerait pas, mais il affirme que j'ignore tout de l'existence. Nous en sommes là. Evidemment, c'est triste, mais comment passer outre sans causer un mortel chagrin à mon pauvre papa…

N° 1145 - Le bonheur par le devoir (Jacques Orbières)

3,74 €
Extrait : — Alors, c'est dit, Paul, tu quittes tantôt ton agence d'où j'ai tant de mal à te sortir, et tu me consacres cette belle après-midi. Et coquette, gentille, Louise posait ses deux mains sur les épaules de son mari, certaine qu'il accepterait. Paul Berliet sourit à sa femme et fit enfin oui de la tête. Louise battit des mains. — Bravo !… La belle journée !… Nous irons ensemble faire un grand tour au Bois, comme deux amoureux. Vite, je m'habille. Paul quitta le fauteuil où il était assis et se promena un instant, le front barré par ses réflexions, tandis que sa femme, légère comme un oiseau, disparaissait du salon. Elle y revint un moment après, ayant fait rapidement sa toilette pour sortir. Elle était charmante, simple, pleine d'élégance et de goût. Paul la contempla un instant, puis ouvrit ses bras et la serra tendrement contre lui. — Ma chère, chère Louise ! murmura-t-il…

N° 922 - L'épreuve sentimentale (C. Fongrave)

3,74 €
Extrait : Les deux jeunes gens se serrèrent la main cordialement et Jean s'éloigna à grands pas, se dirigeant vers le château. A une courte distance, il ralentit et balbutia, se parlant à lui-même : — Pauvre Roger !… Je comprends sa pensée, quoiqu'il la taise avec soin… Mais je n'y puis rien… Pierrette m'aime… et moi je l'adore, le hasard a tout fait. Il leva la tête et aperçut le château, tout près, qui formait une tache grise au milieu de la verdure. Son regard se tourna machinalement vers une des fenêtres du rez-de-chaussée et un sourire détendit ses traits. Aussitôt, il marcha plus vite et escalada le perron. Comme il franchissait le seuil, une voix rieuse s'écria : — Comme ru es resté longtemps, vagabond !…
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