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  • Auteurs: Jacques Orbières
  • Auteurs: Léopold Remon
  • Auteurs: Peggy Nicholson

Saint-Valentin : 4 nouvelles Harlequin (Collectif)

3,34 €
Dites-le avec des fleurs (Katherine Arthur) Rêver d'amour ? Entièrement absorbée par son métier de fleuriste, Jaimie n'en a ni le temps ni l'envie ! Jusqu'à ce jour de la Saint-Valentin où Cliff Dunham entre dans la boutique de la jeune femme… My funny Valentine (Debbie Macomber) Tous les ans à la Saint-Valentin, c'est soir de bal dans la petite ville de Port Blossom. Diane se réjouirait bien de cette merveilleuse soirée. Mais voilà. A quelques jours de l'événement, elle n'a toujours pas de cavalier… Un homme selon mon coeur (Leigh Michaels) Dîner en compagnie de Hunter Dix, la star dont elle connaît toutes les chansons par coeur… Jamais Lauren n'aurait rêvé pareille aubaine ! Pourtant, c'est bien ce qui arrive. Et voilà que le chanteur en est déjà à lui murmurer mille folies, à lui promettre monts et merveilles… Tout cela ne va-t-il pas un peu trop vite ? Rendez-vous le 14 février (Peggy Nicholson) Joanna, la jolie présentatrice de télévision, ne décolère pas. Devant des millions de téléspectateurs, Duncan Flowers a parié qu'il l'aurait séduite avant la Saint-Valentin. Quel goujat ! Un détail important : M. Flowers est l'auteur à succès des 101 façons de conquérir la femme de ses rêves…

N° 1696 - Sa vraie maman ! (Léopold Remon)

2,92 €
Extrait : C'était une pauvre demeure que celle où la vieille Marie Méry se mourait. Une grande pièce au sol dallé, une alcôve et un petit réduit où l'on gardait quelques provisions, composaient le modeste intérieur. Des bouquets d'oignons suspendus décoraient les poutres. La vaste cheminée, quelques misérables meubles ornaient la pièce principale qui s'ouvrait de plain-pied sur le jardinet. Parfois, deux ou trois poules effrontées s'aventuraient jusqu'à la paillasse où dormait Pierrette. C'était toute la basse-cour de Marie Méry qui nourrissait ces volatiles de quelques miettes, et leur laissait le soin de dénicher dans les champs d'alentour le plus clair de leur subsistance. Pauvre, Marie Méry l'était, mais à la façon indifférente des vieilles paysannes qui savent côtoyer la misère sans tomber dans le sordide. Elle ne possédait aucun bien, n'avait ni bétail, ni terre. Et la maison ne lui appartenait qu'en vertu de son abandon dont elle avait su profiter depuis si longtemps…

N° 1714 - Personne au monde... (Léopold Rémon)

3,74 €
Extrait : Quand Charles Bocham pénétra dans son bureau, le scribe indigène était déjà au travail. Le jeune homme bourra sa pipe, déplaça quelques dossiers, prit un roman policier. C'était vraiment un emploi de tout repos. L'employé maori se chargeait des paperasses et s'en tirait fort bien tout seul. Pourtant, le règlement prévoyait que le titulaire du poste devait être licencié en droit. Voilà pourquoi, depuis trois ans, Charles Bocham avait quitté la France. Trois ans ! Il avait débarqué à Tahiti comme Alice au pays des merveilles. C'était presque trop beau, trop colorié. L'air était trop doux, les parfums trop sucrés, la mer et le ciel trop bleus. Mais avec le temps, les couleurs s'étaient ternies, les parfums fanés. Aujourd'hui, Charles Bocham crevait d'ennui. Même la prochaine venue de sa fiancée ne parvenait pas à le tirer de sa lassitude. Le bateau, actuellement, devait franchir le canal de Panama. Il lui faudrait dix-huit jours avant de pénétrer dans la rade de Papeete. Ce délai parût soudain formidablement long à Charles Bocham, plus long que les trois années pendant lesquelles il avait attendu, tout d'abord, sa titularisation, constitué ensuite un petit pécule pour monter son ménage. A présent que le but était en vue, il se rendait compte qu'il n'en pouvait plus, que sa chair et son âme se refusaient à prolonger l'épreuve…

N° 1145 - Le bonheur par le devoir (Jacques Orbières)

3,74 €
Extrait : — Alors, c'est dit, Paul, tu quittes tantôt ton agence d'où j'ai tant de mal à te sortir, et tu me consacres cette belle après-midi. Et coquette, gentille, Louise posait ses deux mains sur les épaules de son mari, certaine qu'il accepterait. Paul Berliet sourit à sa femme et fit enfin oui de la tête. Louise battit des mains. — Bravo !… La belle journée !… Nous irons ensemble faire un grand tour au Bois, comme deux amoureux. Vite, je m'habille. Paul quitta le fauteuil où il était assis et se promena un instant, le front barré par ses réflexions, tandis que sa femme, légère comme un oiseau, disparaissait du salon. Elle y revint un moment après, ayant fait rapidement sa toilette pour sortir. Elle était charmante, simple, pleine d'élégance et de goût. Paul la contempla un instant, puis ouvrit ses bras et la serra tendrement contre lui. — Ma chère, chère Louise ! murmura-t-il…
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