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  • Auteurs: Jacques Orbières
  • Auteurs: Kate Brian
  • Auteurs: René-Paul Noël

Campus T0 : Cet hiver-là, à Easton… (Kate Brian)

3,95 €
L'académie d'baston se prépare à fermer pour Noël. Ariana Osgood doit passer ses vacances dans la famille de Daniel Ryan, son petit ami. Elle sait qu'elle a une chance folle de fréquenter ce garçon parfait. Pourtant… elle doute. Et tandis qu'elle se débat avec ses sentiments contradictoires, son attirance pour Thomas Pearson, le « bad boy » d'baston, ne fait que grandir. Quand elle est forcée de retarder son départ à cause d'un devoir qu'elle a oublié de rendre, elle se réjouit : Thomas lui aussi reste au lycée. Les deux jeunes gens se retrouvent seuls sur un campus recouvert de neige, silencieux et désert. Désert ? Pas tout à fait. Dans l'ombre, quelqu'un les espionne… Son but : transformer ce début d'idylle en cauchemar… Que s'est-il réellement passé entre Arianna et Thomas avant l'arrivée de Reed à Easton ? À partir de 15 ans.

Privilège T1 : Vengeance (Kate Brian)

4,95 €
Condamnée à perpétuité pour le meurtre de son ex-petit ami, Ariana Osgood observe désormais le monde à travers les grilles du centre pénitentiaire Brenda-T. L'univers doré d'Easton n'est plus qu'un lointain souvenir, et ses journées s'étirent au rythme des séances avec le docteur Meloni, un psychiatre sinistre qu'elle déteste. Pourtant, malgré les apparences, Ariana n'a pas renoncé à ses rêves d'évasion. Et elle compte bien retrouver ses privilèges. Une fois dehors, rien, ni personne ne pourra se mettre en travers de son chemin. Mais, à trop croire en sa chance, Ariana risque de se brûler les ailes… À partir de 15 ans.

N° 1644 - On peut rêver d'amour (René-Paul Noël)

4,92 €
Extrait : Quelqu'un dit : — C'est scandaleux !  Mais on ne l'écoutait pas. Sur le quai de la gare, un employé s'avançait et la foule des voyageurs bloqués à Saint-Sulpice se porta à sa rencontre dans un mouvement impétueux. Le cheminot ouvrit les bras d'un air désappointé : — Je vous en prie… On vient de me téléphoner : les dépôts sont en grève, aucune machine ne peut sortir. …

N° 1654 - Rendez-moi mon enfant (René-Paul Noël)

6,00 €
Extrait : Myrtille Lacaule s'était adossé à la cheminée et, le visage crispé, elle suivait le manège de Deschamps présentant Simone à ses amis. Mais quoi que fasse Myrtille, son regard revenait se poser sur sa rivale ! Ainsi c'était là la jeune fille qui lui avait ravi l'amour de Pierre. Avec la sévérité d'une femme jalouse, elle la jugeait insignifiante et fade…

N° 1715 - Fille du Canada (René-Paul Noël)

4,50 €
Extrait : Les chevaux étaient rassemblés dans un vaste enclos de perches, près d'un village dont on apercevait les fumées par-dessus le petit rideau de trembles. La journée était précieuse comme une opale. Des paysans endimanchés, Canadiens français ou Irlandais, se pressaient sur la place du marché. Des gosses criaient, des chiens aboyaient et le crincrin d'un violon rythmant une clogg-dance mettait sur le tout une joyeuse atmosphère de Kermesse. Jean Leclerc avait pris le bras de Pierre Daix, son vieux copain retrouvé. La bière et le Whisky aidant, les jeunes gens, entre deux éclats de rire, cédaient à l'attendrissement et évoquaient leur jeunesse — pas si lointaine ! — avec des : « Te souviens-tu… » qui introduisaient, dans leur conversation, un peu de la mélancolie des choses fanées. La foule s'ouvrait sur leur passage. Ce qui attirait surtout l'attention sur le couple, c'était le vêtement de Jean Leclerc, anachronique comme un gibus à la vitrine d'un chapelier. Les gosses, bouche bée, lui faisaient une escorte discrète, les jeunes  filles le regardaient avec une inlassable curiosité…

N° 1145 - Le bonheur par le devoir (Jacques Orbières)

3,74 €
Extrait : — Alors, c'est dit, Paul, tu quittes tantôt ton agence d'où j'ai tant de mal à te sortir, et tu me consacres cette belle après-midi. Et coquette, gentille, Louise posait ses deux mains sur les épaules de son mari, certaine qu'il accepterait. Paul Berliet sourit à sa femme et fit enfin oui de la tête. Louise battit des mains. — Bravo !… La belle journée !… Nous irons ensemble faire un grand tour au Bois, comme deux amoureux. Vite, je m'habille. Paul quitta le fauteuil où il était assis et se promena un instant, le front barré par ses réflexions, tandis que sa femme, légère comme un oiseau, disparaissait du salon. Elle y revint un moment après, ayant fait rapidement sa toilette pour sortir. Elle était charmante, simple, pleine d'élégance et de goût. Paul la contempla un instant, puis ouvrit ses bras et la serra tendrement contre lui. — Ma chère, chère Louise ! murmura-t-il…
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