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  • Auteurs: Jacques Orbières
  • Auteurs: Jean Tempest
  • Auteurs: Rosalia Laurence
Tendre chassé-croisé (Jean Tempest) - Modes de Paris N° 33

N° 33 - Tendre chassé-croisé (Jean Tempest)

3,18 €
Le docteur Ellsworth a trois jolies filles : Daphné, Elyse et Virna, toutes trois infirmières dans le vieil hôpital qu'il dirige… et qui date de la reine Victoria ; aussi, certaines personnes font-elles campagne, en ville, pour obtenir la démolition des bâtiments jugés vétustes. Les filles du docteur ont chacune une idylle ; celle de Daphné a des résonances inattendues qui vont compliquer la situation : la jeune fille a, en effet, rompu ses fiançailles avec Clay Derrille pour épouser un riche Américain. Humilié, le père de Clay dirige la cabale contre Ellsworth et empêche ce dernier de toucher les fonds qu'il réclamait pour moderniser son hôpital… Mais les choses n'en resteront pas là car les filles du médecin n'ont pas dit leur dernier mot. Vous aimerez ce charmant roman aux péripéties originales et amusantes.
La revanche de l'amour (Rosalia Laurence) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1905

N° 1905 - La revanche de l'amour (Rosalia Laurence)

3,05 €
Extrait  : Paris apparaissait dans la brume matinale. Le Super-Constellation commença à perdre de la hauteur, les panneaux donnant l'ordre d'attacher les ceintures venaient de s'allumer et les voyageurs obéirent aux lettres lumineuses avec un sourire soulagé, car l'atterrissage était proche. L'hôtesse de l'air s'approcha doucement de Thierry, lui tendant une pochette d'allumettes… — Vous allez ruiner la compagnie, Monsieur Bresson… lui dit la jeune femme, c'est la dixième boîte que je vous donne depuis Karachi ! Thierry leva vers elle le regard amusé de ses yeux gris. — Hé bien, je vous promets de m'acheter un beau briquet si vous acceptez de venir le choisir avec moi… Quand venez-vous dîner au bar du journal, cruelle petite demoiselle ? — Vous avez vraiment de la suite dans les idées, soupira gentiment la jeune fille, et il y a bien longtemps que je me serais fâchée si je ne vous admirais pas tant. Vous savez, j'ai lu tous vos articles. Ils étaient passionnants. Où allez-vous maintenant ?…
La revanche de l'amour (Rosalia Laurence) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1905

N° 1905 - La revanche de l'amour (Rosalia Laurence)

4,50 €
Extrait : Paris apparaissait dans la brume matinale. Le Super-Constellation commença à perdre de la hauteur, les panneaux donnant l'ordre d'attacher les ceintures venaient de s'allumer et les voyageurs obéirent aux lettres lumineuses avec un sourire soulagé, car l'atterrissage était proche. L'hôtesse de l'air s'approcha doucement de Thierry, lui tendant une pochette d'allumettes… — Vous allez ruiner la compagnie, Monsieur Bresson… lui dit la jeune femme, c'est la dixième boîte que je vous donne depuis Karachi ! Thierry leva vers elle le regard amusé de ses yeux gris. — Hé bien, je vous promets de m'acheter un beau briquet si vous acceptez de venir le choisir avec moi… Quand venez-vous dîner au bar du journal, cruelle petite demoiselle ? — Vous avez vraiment de la suite dans les idées, soupira gentiment la jeune fille, et il y a bien longtemps que je me serais fâchée si je ne vous admirais pas tant. Vous savez, j'ai lu tous vos articles. Ils étaient passionnants. Où allez-vous maintenant ?…
Le bonheur par le devoir (Jacques Orbières) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1145

N° 1145 - Le bonheur par le devoir (Jacques Orbières)

3,74 €
Extrait : — Alors, c'est dit, Paul, tu quittes tantôt ton agence d'où j'ai tant de mal à te sortir, et tu me consacres cette belle après-midi. Et coquette, gentille, Louise posait ses deux mains sur les épaules de son mari, certaine qu'il accepterait. Paul Berliet sourit à sa femme et fit enfin oui de la tête. Louise battit des mains. — Bravo !… La belle journée !… Nous irons ensemble faire un grand tour au Bois, comme deux amoureux. Vite, je m'habille. Paul quitta le fauteuil où il était assis et se promena un instant, le front barré par ses réflexions, tandis que sa femme, légère comme un oiseau, disparaissait du salon. Elle y revint un moment après, ayant fait rapidement sa toilette pour sortir. Elle était charmante, simple, pleine d'élégance et de goût. Paul la contempla un instant, puis ouvrit ses bras et la serra tendrement contre lui. — Ma chère, chère Louise ! murmura-t-il…
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