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  • Auteurs: Jacques Orbières
  • Auteurs: Stan Cullimore
  • Auteurs: Vincent Cordonnier
Pourquoi les filles grandissent-elles ? (Stan Cullimore) - Le livre de poche N° 695
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Pourquoi les filles grandissent-elles ? (Stan Cullimore) - Le livre de poche N° 695

3,50 €
— Pourquoi l'adorable blonde que l'on faisait sauter sur ses genoux, il n'y a pas si longtemps de cela, s'enferme-t-elle à double tour dans la salle de bains en hurlant soudain qu'on lui fiche la paix ? — Pourquoi en ressort-elle dangereusement rousse ? — En Somme : est-il possible, pour un père, d'élever seul sa fille de treize ans bientôt quatorze ? À partir de 12 ans.

Les aventures d'Alphonse Vaublanc T1 : L'enfant borgne (Vincent Cordonnier)

3,92 €
France, 1912. Alphonse Vaublanc et sa petite soeur Léontine vivent dans le beau domaine de leur grand-mère, en Corrèze. Depuis des semaines, ils sont sans nouvelles de leurs parents : leur mère est partie en Guyane à la recherche de leur père disparu. Or les Mondevert, des cousins éloignés, manigancent pour récupérer la superbe propriété en devenant leurs tuteurs. C'est alors que Pierre de Lompret, le parrain d'Alphonse, fait son apparition et invite les enfants chez lui, à Paris. Ravis de cette escapade, Alphonse et Léontine ont bientôt le sentiment que l'hôtel particulier parisien est le théâtre d'activités secrètes et que Pierre mène une double vie. Ils ne se doutent pas encore que l'aventure ne fait que commencer. Le parrain d'Alphonse Vaublanc est un aventurier, une espèce d'Arsène Lupin gentleman cambrioleur, sans doute. Mais un assassin, sûrement pas ! Et le jeune garçon va mener l'enquête pour le prouver. A partir de 11 ans.

N° 1145 - Le bonheur par le devoir (Jacques Orbières)

3,74 €
Extrait : — Alors, c'est dit, Paul, tu quittes tantôt ton agence d'où j'ai tant de mal à te sortir, et tu me consacres cette belle après-midi. Et coquette, gentille, Louise posait ses deux mains sur les épaules de son mari, certaine qu'il accepterait. Paul Berliet sourit à sa femme et fit enfin oui de la tête. Louise battit des mains. — Bravo !… La belle journée !… Nous irons ensemble faire un grand tour au Bois, comme deux amoureux. Vite, je m'habille. Paul quitta le fauteuil où il était assis et se promena un instant, le front barré par ses réflexions, tandis que sa femme, légère comme un oiseau, disparaissait du salon. Elle y revint un moment après, ayant fait rapidement sa toilette pour sortir. Elle était charmante, simple, pleine d'élégance et de goût. Paul la contempla un instant, puis ouvrit ses bras et la serra tendrement contre lui. — Ma chère, chère Louise ! murmura-t-il…
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