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  • Auteurs: Jacques Orbières
  • Auteurs: Victor Astafiev
Perdu dans la taïga (Victor Astafiev) - Castor Poche N° 147 - Flammarion
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Perdu dans la taïga (Victor Astafiev) - Castor Poche N° 147

2,74 €
Ce  matin-là, le fusil à l'épaule et la cartouchière à la ceinture, Vassioutka s'enfonce dans l'immense taïga. Il sait qu'il ne doit en aucun cas quitter le sentier tracé dans l'épaisse forêt. Mais soudain, un grand tétras s'envole sous ses yeux. Oubliant les recommandations de sa mère, Vassioutka poursuit l'oiseau… Sous les yeux de Ghirmantcha, la barque de ses parents s'est retournée dans les eaux du fleuve en furie. Ni le père, ni la mère ne réapparaissent… Deux courts récits inspirés de l'enfance de l'auteur dans sa Sibérie natale.

Le cheval à la crinière rose (Victor Astafiev) - Castor Poche N° 187

2,15 €
Dix récits à mi-chemin entre les souvenirs et la fiction. Une galerie de portraits d'enfants de l'Oural et de Sibérie. La rude nature nordique ne fait pas de cadeaux. Il n'est pas sans danger de dérober ses petits à une martre, de s'aventurer sur l'Ienisseï quand la glace est encore fragile. Même les flaques de boue mal séchée du printemps peuvent réserver des surprises. L'auteur nous fait assister à la petite guerre que se livrent Victor et sa grand-mère qui l'élève. Aux ruses du garçon répondent les colères à demi feintes de la vieille paysanne. Il faut compter aussi avec le fils du voisin, qui entraîne Victor dans bien des mésaventures...

N° 1145 - Le bonheur par le devoir (Jacques Orbières)

3,74 €
Extrait : — Alors, c'est dit, Paul, tu quittes tantôt ton agence d'où j'ai tant de mal à te sortir, et tu me consacres cette belle après-midi. Et coquette, gentille, Louise posait ses deux mains sur les épaules de son mari, certaine qu'il accepterait. Paul Berliet sourit à sa femme et fit enfin oui de la tête. Louise battit des mains. — Bravo !… La belle journée !… Nous irons ensemble faire un grand tour au Bois, comme deux amoureux. Vite, je m'habille. Paul quitta le fauteuil où il était assis et se promena un instant, le front barré par ses réflexions, tandis que sa femme, légère comme un oiseau, disparaissait du salon. Elle y revint un moment après, ayant fait rapidement sa toilette pour sortir. Elle était charmante, simple, pleine d'élégance et de goût. Paul la contempla un instant, puis ouvrit ses bras et la serra tendrement contre lui. — Ma chère, chère Louise ! murmura-t-il…
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