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  • Auteurs: Denise Lynn
  • Auteurs: Jacques Orbières
  • Auteurs: Yanka

N° 13 - La nuit ensorcelée (Denise Lynn)

4,50 €
Depuis toujours, Alexia se passionne pour la sorcellerie, un engouement qui lui fait souvent courir mille dangers. Un jour, alors que ses recherches l’ont conduite plus loin encore que de coutume, elle échappe de justesse à une tentative d’assassinat. Cette fois, elle n’a plus le choix. Elle va devoir se résoudre à aller trouver Brendan Drake, le seul à pouvoir l’aider grâce à ses étonnants pouvoirs. Sauf qu’à la seule évocation du nom du puissant sorcier, une multitude de souvenirs la submerge : sa rencontre, d’abord, avec cet homme au charme envoûtant ; leur mariage somptueux dans le château familial ; la rupture enfin, et le désespoir, après la perte de leur bébé. Le doute alors l’envahit : pourquoi Brendan accepterait-il de la revoir, lui qui vit seul, reclus dans son manoir, depuis leur séparation ?

N° 1521 - L'atroce vérité (Yanka)

4,92 €
Extrait : Antoinette sécha une dernière larme et alla ouvrir la porte du salon. — Tu veux venir dire au revoir à oncle Maurice, Jeannine, cria-t-elle. On entendit le pas vif de la fillette qui accourait. Son beau regard tendre, un peu inquiet, se posa tour à tour sur chacun des visages, celui de sa mère, puis celui de Maurice Molière. Elle comprit qu'il venait de se passer quelque chose entre eux…

N° 1145 - Le bonheur par le devoir (Jacques Orbières)

3,74 €
Extrait : — Alors, c'est dit, Paul, tu quittes tantôt ton agence d'où j'ai tant de mal à te sortir, et tu me consacres cette belle après-midi. Et coquette, gentille, Louise posait ses deux mains sur les épaules de son mari, certaine qu'il accepterait. Paul Berliet sourit à sa femme et fit enfin oui de la tête. Louise battit des mains. — Bravo !… La belle journée !… Nous irons ensemble faire un grand tour au Bois, comme deux amoureux. Vite, je m'habille. Paul quitta le fauteuil où il était assis et se promena un instant, le front barré par ses réflexions, tandis que sa femme, légère comme un oiseau, disparaissait du salon. Elle y revint un moment après, ayant fait rapidement sa toilette pour sortir. Elle était charmante, simple, pleine d'élégance et de goût. Paul la contempla un instant, puis ouvrit ses bras et la serra tendrement contre lui. — Ma chère, chère Louise ! murmura-t-il…
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