Accueil

Accueil

Il y a 3 produits.

Affichage 1-3 de 3 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Ariel Berk
  • Auteurs: Jacques Sanluys

N° 482 - Les Hauts de Glenville (Ariel Berk)

2,56 €
Mon chéri ! Quelle surprise ! — Pour une surprise… c'est une surprise ! reconnut Nick, perplexe. A vrai dire, il n'avait jamais vu la jolie rousse qui venait de se jeter à son cou ! Tout en l'enlaçant comme elle l'y invitait, il regarda autour de lui pour essayer de comprendre quelles circonstances avaient poussé dans ses bras cette créature de rêve. Ah oui… Un peu plus loin, un grand dadais de quinze ans observait la scène d'un air contrit. La belle audacieuse avait probablement monté cette mise en scène pour décourager l'amoureux transi en baskets. Une mise en scène ma foi fort agréable, comme semblait aussi le penser sa fiancée d'opérette tandis qu'il resserrait son étreinte. Alors, charmé par ce jeu, Nick lui murmura : — Etes-vous libre pour déjeuner, ma chérie ?

N° 359 - Le coeur partagé (Ariel Berk)

2,15 €
La nuit s’épaississait au détour des allées. Une brise de printemps agitait les arbres du parc. Ils demeuraient silencieux, blottis l’un contre l’autre au fond de la calèche. Audrey avait posé sa tête sur l’épaule de Douglas, les lèvres encore humides du baiser qu’ils venaient d’échanger, le corps tout frémissant des mots sans équivoque qu’il avait murmurés. Elle aussi le désirait. De tout son corps, de toute son âme. Mais quoi qu’il arrive, Douglas aurait toujours un fils. Un fils qui, quoi que Douglas en dise, leur interdirait toujours de s’aimer.

N° 1917 - Le dernier mot du coeur (Jacques Sanluys)

3,95 €
Extrait : A regret je franchis le portillon. C'était stupide d'avoir choisi le métro comme moyen de transport ! Il y avait une vingtaine d'arrêts, deux changements, pour aller jusqu'à « La Fourche ». Un bien long voyage ! Je m'étais privée sans raison du beau soleil d'octobre... Le bruit de la rame qui arrivait coupa court à mes réflexions. Trop tard pour changer d'avis !... Je me dirigeai vers le milieu du quai, là où allait venir se placer le wagon des « premières ». Des cris d'effroi, soudain me glacèrent… Le train stoppa net, durement. Des gens s'élancèrent vers la voiture de tête. Le conducteur sortit d'un bond de sa cabine. Il sauta sur la voie, suivi par le chef de train… Déjà, des voyageurs formaient un cercle. Je ne voulu pas me mêler à la foule. C'était un suicide, sans aucun doute. L'affreux spectacle ne m'attirait pas ! Le chef de station, qui s'était précipité pour aider ses camarades de travail à secourir la victime revenait au pas de charge vers la cabine vitrée qui lui sert de bureau…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire