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  • Auteurs: Jacques Sanluys
  • Auteurs: Lass Small

N° 336 - La princesse à la tour d'ivoire (Lass Small)

2,56 €
Le regard de Clint tomba sur un petit tableau. A la fenêtre d'un château, une femme guettait l'horizon, semblant attendre quelque chose. Malgré l'audace du décolleté et l'extrême sensualité du visage mis en relief par la lumière, elle paraissait lointaine, comme en retrait. En bas des remparts où se pressait une foule noire, très dense, un cavalier avançait, les yeux levés vers la fenêtre. — Quand avez-vous peint cela ? — Qu'importe ! dit-elle tendue. — La femme, là, c'est vous, n'est-ce pas ? Elle se tut tandis qu'il approchait d'elle. — Mais peut-on savoir qui est ce chevalier que vous semblez attendre ?

N° 419 - Super Passion : Le goût de la passion (Lass Small)

2,06 €
Le son qui s'échappait de la flûte de Clothilde vibrait dans la nuit, tissant avec le vent et les bruits de la campagne texane, une symphonie qui, mystérieusement, évoquait la mer. Ils étaient nus tous les deux, réunis dans ce moment unique en dépit de tout ce qui avait pu les séparer, de tout ce qui les séparerait encore… Ils venaient de faire l'amour, fiévreusement, passionnément, et tout ce qu'ils n'avaient pas dit pendant l'amour, la flûte l'exprimait, en une sorte de vibrante imploration à l'immensité céleste. Clothilde jouait de tout son être, dédiant sa musique à l'amant étendu près d'elle dans la splendeur de sa nudité. Et les notes semblaient un prélude à leur prochaine étreinte…

N° 1917 - Le dernier mot du coeur (Jacques Sanluys)

3,95 €
Extrait : A regret je franchis le portillon. C'était stupide d'avoir choisi le métro comme moyen de transport ! Il y avait une vingtaine d'arrêts, deux changements, pour aller jusqu'à « La Fourche ». Un bien long voyage ! Je m'étais privée sans raison du beau soleil d'octobre... Le bruit de la rame qui arrivait coupa court à mes réflexions. Trop tard pour changer d'avis !... Je me dirigeai vers le milieu du quai, là où allait venir se placer le wagon des « premières ». Des cris d'effroi, soudain me glacèrent… Le train stoppa net, durement. Des gens s'élancèrent vers la voiture de tête. Le conducteur sortit d'un bond de sa cabine. Il sauta sur la voie, suivi par le chef de train… Déjà, des voyageurs formaient un cercle. Je ne voulu pas me mêler à la foule. C'était un suicide, sans aucun doute. L'affreux spectacle ne m'attirait pas ! Le chef de station, qui s'était précipité pour aider ses camarades de travail à secourir la victime revenait au pas de charge vers la cabine vitrée qui lui sert de bureau…
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