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  • Auteurs: Doris Faber
  • Auteurs: Jacques Sanluys
  • Auteurs: Sarah Keene

N° 139 - Un pirate au paradis (Sarah Keene)

2,95 €
Dans son rêve, elle était Miranda du conte de Shakespeare, vêtue d'une robe longue, ornée de cygnes et de croissants de lune. Elle se trouvait au coeur d'une forêt magique. Un animal aux yeux brillants surgit soudain des buissons. Miranda s'approcha doucement pour mieux discerner la silhouette dans la lumière du clair de lune. C'était le monstre Caliban ! Il l'appela d'une voix rauque et suppliante. Emue par cet être mi-homme mi-bête, Miranda voulut le caresser… C'était Jake Delacroix…

Adieux à la bien-aimée (Doris Faber) - Collection Blason N° 11

3,95 €
Alexandrine de Vigiers vient d'apprendre avec stupeur ce qu'on lui a toujours caché : elle est la fille d'une célèbre danseuse italienne, la Beltramini. L'étoile, jadis, a préféré son art à son foyer... Elle vient de mourir. Seule au monde, désemparée, Alexandrine accepte d'épouser l'étrange comte Aloys Skelessy. Mariage blanc : le comte ne songe qu'à assouvir une vengeance en la retenant prisonnière dans son château de Sandös en Hongrie. Un soir d'orage, la jeune femme rencontre un Français, Laurent de Jarroy. Il lui fait découvrir que la passion existe... Grâce à l'amitié de l'impératrice Elisabeth, la Cour de Vienne accueille Alexandrine. Elle en profite pour s'enfuir, quand un événement tragique l'oblige à réintégrer Sandös. Elle y retrouve ses pièges, ses maléfices. Pourra-t-elle enfin s'en évader pour rejoindre celui dont le merveilleux amour l'embrase toute ?

N° 1917 - Le dernier mot du coeur (Jacques Sanluys)

3,95 €
Extrait : A regret je franchis le portillon. C'était stupide d'avoir choisi le métro comme moyen de transport ! Il y avait une vingtaine d'arrêts, deux changements, pour aller jusqu'à « La Fourche ». Un bien long voyage ! Je m'étais privée sans raison du beau soleil d'octobre... Le bruit de la rame qui arrivait coupa court à mes réflexions. Trop tard pour changer d'avis !... Je me dirigeai vers le milieu du quai, là où allait venir se placer le wagon des « premières ». Des cris d'effroi, soudain me glacèrent… Le train stoppa net, durement. Des gens s'élancèrent vers la voiture de tête. Le conducteur sortit d'un bond de sa cabine. Il sauta sur la voie, suivi par le chef de train… Déjà, des voyageurs formaient un cercle. Je ne voulu pas me mêler à la foule. C'était un suicide, sans aucun doute. L'affreux spectacle ne m'attirait pas ! Le chef de station, qui s'était précipité pour aider ses camarades de travail à secourir la victime revenait au pas de charge vers la cabine vitrée qui lui sert de bureau…
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