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  • Auteurs: Jacques Sanluys
  • Auteurs: Laurie Verlay
  • Auteurs: Sarah Keene

N° 3311 - Le bal de Mexico (Laurie Verlay) - Quand le diable ricane (Pierre Salva)

4,50 €
Encarts Lecture BS 3311 à détacher Extraits  : Le bal de Mexico  d'après le roman de Laurie Verlay L'année finissait en beauté, par un froid vif, sous un ciel clair… Florence soupira et traversa le pont Alexandre III. Pour la première fois, elle allait passer ces heures de fête sans réveillon, sans visage ami ou aimé près d'elle. Comme elle s'engageait dans l'avenue Franklin Roosevelt, les réverbères s'allumèrent. Des guirlandes d'ampoules électriques brillèrent sur les branches des arbres bordant les Champs-Elysées… Quand le diable ricane  d'après le roman policier de Pierre Salva Adrien avait résolu de passer a nuit sur le voilier, ancré à deux cents mètres de la rive… Patrice pourrait donc rester un peu, après le départ des autres invités. A cette pensée, Sabine sentit une brusque chaleur l'envahir. Pour la première fois, à quarante ans, elle comprenait pleinement le sens de l'expression populaire : « avoir quelqu'un dans la peau »…

N° 139 - Un pirate au paradis (Sarah Keene)

2,95 €
Dans son rêve, elle était Miranda du conte de Shakespeare, vêtue d'une robe longue, ornée de cygnes et de croissants de lune. Elle se trouvait au coeur d'une forêt magique. Un animal aux yeux brillants surgit soudain des buissons. Miranda s'approcha doucement pour mieux discerner la silhouette dans la lumière du clair de lune. C'était le monstre Caliban ! Il l'appela d'une voix rauque et suppliante. Emue par cet être mi-homme mi-bête, Miranda voulut le caresser… C'était Jake Delacroix…

N° 1917 - Le dernier mot du coeur (Jacques Sanluys)

3,95 €
Extrait : A regret je franchis le portillon. C'était stupide d'avoir choisi le métro comme moyen de transport ! Il y avait une vingtaine d'arrêts, deux changements, pour aller jusqu'à « La Fourche ». Un bien long voyage ! Je m'étais privée sans raison du beau soleil d'octobre... Le bruit de la rame qui arrivait coupa court à mes réflexions. Trop tard pour changer d'avis !... Je me dirigeai vers le milieu du quai, là où allait venir se placer le wagon des « premières ». Des cris d'effroi, soudain me glacèrent… Le train stoppa net, durement. Des gens s'élancèrent vers la voiture de tête. Le conducteur sortit d'un bond de sa cabine. Il sauta sur la voie, suivi par le chef de train… Déjà, des voyageurs formaient un cercle. Je ne voulu pas me mêler à la foule. C'était un suicide, sans aucun doute. L'affreux spectacle ne m'attirait pas ! Le chef de station, qui s'était précipité pour aider ses camarades de travail à secourir la victime revenait au pas de charge vers la cabine vitrée qui lui sert de bureau…
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