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  • Auteurs: Janet Franklin
  • Auteurs: Maurice Farney
  • Auteurs: Michel Nour

N° 531 - La vocation d'un enfant (Maurice Farney)

4,90 €
Préface  : Un enfant qui, dès ses premières années, est porté par sa nature vers une vocation invincible ; un père qui, par ambition, veut arrêter cette vocation et diriger son fils vers une carrière lui paraissant plus brillante et plus lucrative, tel est le début de la vie de François Girardon. On le destinait à la magistrature ; il préfère travailler comme simple ouvrier, dans un atelier de menuiserie, parce que ses goûts le portaient vers le dessin et la sculpture. Avec une volonté énergique, par un travail opiniâtre, il parvint à convaincre son père et à suivre la carrière où devait éclater son génie. Il s'éleva aux plus hautes fonctions, sous Louis XIV, et prit place parmi les hommes les plus illustres de son siècle. Nous offrons à nos jeunes lecteurs la vie de François Girardon, si belle et si intéressante, comme un exemple des bons résultats qu'on obtient par la volonté et un travail assidu.

N° 366 - Un si doux sortilège (Janet Franklin)

2,56 €
Ces vacances forcées au Nouveau-Mexique avaient été pour Andréa l'occasion d'une rencontre pleine de charme. Elle gardait encore sur les lèvres la saveur sucrée des baisers de Bart Collins. Mais elle avait dû rentrer à Colombus où l'attendaient tant d'obligations familiales et professionnelles. « Incompatibles avec une aventure de vacances », songeait Andréa. Mais elle devait se rendre à l'évidence. Depuis son retour, elle détestait Colombus, son ciel gris, ses contraintes. Elle savait pourtant que sa romance n'était qu'un merveilleux intermède. Ce qu'elle n'avait pas prévu, c'est qu'elle ne le supporterait pas. Bart Collins avait été une erreur… Jusqu'à preuve du contraire !

N° 505 - Je t'adore ! (Michel Nour)

2,92 €
Extrait : Devant la porte du dancing, les deux jeunes gens s'arrêtèrent et Maurice Féraud tendit la main à son ami Raymond Landier. — Tu n'entres pas un instant avec moi ? demanda celui-ci. Voyons, pour une fois, laisse-toi tenter ! Maurice secoua la tête. — Je ne suis nullement tenté, je t'assure. — Tu détestes la danse ! — Je ne la déteste pas, mais je n'éprouve pas comme toi un plaisir de se trémousser comme tu dis, protesta vivement Raymond, il y a aussi celui de tenir dans ses bras une jolie créature qu'emporte l'ivresse du  rythme et qu'on sent contre soi, frémissante, palpitante, offerte comme une fleur qui vous grise de sa beauté et de son parfum…
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