Chariot
0 articles
Votre panier est actuellement vide
Login
Connexion au compte existant Connectez-vous à votre compte
réinitialiser le mot de passe
Nouveau compte S'inscrire
Accueil
-
- Harlequin
- J'ai lu
- Duo
- Presses de la Cité
- Ferenczi & Fils
- Librairie Jules Tallandier
- Romances - Divers éditeurs
- Magazines - Suppléments
- Littérature Jeunesse
- Activités - Coloriages - Jeux
- Lire en anglais
- Livres pour les tout-petits (0-3 ans)
- Premières lectures
- Contes, légendes et mythologies
- Histoire et Classiques
- Petites et grandes fictions
- Bandes dessinées
- Bibliothèque Verte
- Bibliothèque Rose
- Bibliothèque Rouge et Or
- Collection Spirale
- Idéal~Bibliothèque
- Journaux - Brochures
- Les bandes dessinées
- Autres rayons littérature
- Harlequin
Filtrer par
Auteurs
Auteurs
Collections
Collections
Séries
Séries
Editeurs
Editeurs
Prix
Prix
-
2,00 € - 8,00 €
Accueil
Affichage 1-3 de 3 article(s)
N° 1307 - Lettres à un inconnu (Toni Collins)
2,15 €
Quand les enfants interviennent dans les affaires de coeur des adultes... les rencontres les plus improbables deviennent possibles !
Chère Christina, Je m'appelle Joe Parrish, j'ai vingt-neuf ans, et je suis soldat de deuxième classe dans l'armée américaine. J'ai été très surpris de recevoir votre lettre. Je croyais que tout le monde nous avait oubliés, ici, au Moyen-Orient…
Ainsi commençait la lettre de Joe Parrish à sa marraine de guerre. Pour Christina, elle avait la fraîcheur d'un premier rendez-vous d'amour. Aucun des hommes qu'elle connaissait ne s'était jamais exprimé en des termes aussi sincères et spontanés. Il faut dire qu'en tant que simple soldat, Joe n'avait rien de commun avec les hommes riches et sûrs d'eux que fréquentait la fille du sénateur. Ils appartenaient à deux mondes distincts et, s'il n'y avait eu cette guerre, jamais ils ne seraient entrés en contact. Mais il y avait eu la guerre… et bientôt cet enfant qui allait tout changer.
N° 32 - Mademoiselle de Sérances (Louis Noël)
8,00 €
Extrait : Dix heures venaient de sonner au cartel du grand salon ; la porte donnant dans la salle à manger s'ouvrit et le maître d'hôtel annonça : — Mademoiselle est servie. — Vite à table, Mesdames, dit joyeusement le comte Hubert de Sérances en offrant le bras à la vieille tante Euphrosine, il faut qu'à onze heures nous soyons en selle. J'espère vous présenter tout à l'heure un gaillard capable de nous faire voir du pays. Le comte, secondé par sa fille Françoise depuis la mort de sa femme, recevait comme on ne reçoit plus guère auourd'hui, souvent parce qu'on ne peut pas, quelquefois parce qu'on ne veut pas s'en donner la peine. Au centre de la table trônait sur un vaste plat d'argent une énorme hure de sanglier toute bardée de truffes. Tout autour s'arrondissait une jonchée de chrysanthèmes pourpre et chamois, couleurs de l'équipage ; parmi les fleurs galopait toute une meute en biscuit de Sèvres. Devant chaque convive une série de quatre verres s'emplissait peu à peu de vins couleur de topaze ou de rubis ; seul le maître de maison ne buvait que de l'eau…