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  • Auteurs: Gayle Wilson
  • Auteurs: Jean Dangery
  • Auteurs: Sarah Holland

N° 148 - Rêve égyptien (Sarah Holland)

2,54 €
Lorelei ferma les yeux. La lumière, au Caire devait être dorée, pour saluer la fin du jour. Il faisait chaud, avait-il dit. Elle lui manquait… Steve devait paresser sur une terrasse blanche écrasée par le soleil, et contempler les felouques qui remontaient le grand et mystérieux Nil. Mais quand le reverrait-elle ?

N° 369 - Et la mort nous séparera (Gayle Wilson)

3,50 €
Sur les marches du tribunal d'où va bientôt sortir Samuel Tate, l'assassin de son fils, Sarah Patterson s'apprête à faire justice. Comment accepter en effet qu'un simple vice de forme permette au monstre qui a tué son enfant de rester impuni ? Et comment accepter surtout que d'autres enfants puissent être un jour victimes de ce serial killer ? Mais alors qu'elle croise le regard de l'homme qui vient de sortir libre du tribunal, et que, le cœur battant, elle s'apprête à appuyer sur la détente, un flic, Mac Donovan, s'interpose. Un flic qui sait comme elle que l'homme est dangereux mais qui ne peut laisser abattre celui que les juges ont relâché. Profitant de la diversion, l'assassin disparaît… Pas pour longtemps : bientôt, en effet, Sarah reçoit des messages angoissants. Des messages qui lui laissent penser, en dépit du scepticisme de la police, que l'assassin n'en a pas fini avec elle. Pourtant, le danger, de plus en plus palpable, se resserre autour de Sarah : son ex-mari, puis un enfant du voisinage, sont à leur tour assassinés. Désormais, Sarah le sait : entre elle et Samuel Tate, la lutte sera sans merci. Et seule la mort les séparera…

N° 1089 - La douloureuse erreur (Jean Dangery)

3,05 €
Extrait : Colette de Rions pénétra dans le vestiaire où le valet de chambre s'empressa pour lui tendre sa cape. Un instant, devant un long miroir qui descendait presque jusqu'au parquet, elle s'immobilisa pour jeter un coup d'œil à sa coiffure et se remettre de la poudre. La glace lui renvoyait sa silhouette grande et mince, aux proportions harmonieuses, vêtue d'un fourreau de soie gris clair délicieusement discret, qui moulait ses hanches rondes, son torse sculptural, et laissait libres les bras roses et la gorge frémissante. A sa ceinture pendait une énorme rose jaune pâle, si lourde, si charnue et veloutée qu'on eut dit une parfaite imitation de la nature. Le gris délicat de cette toilette s'harmonisait d'exquise façon avec la blondeur de Colette, — une blondeur à la fois chaude et douce, ni le blond cendré trop éteint, ni l'ardent blond vénitien qui semble flamber au soleil…
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