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  • Auteurs: Alex Redry
  • Auteurs: Jean Delhat
  • Auteurs: Jean Sue Macleod

N° 84 - Le maître de Glenkeit (Jean Sue Macleod)

9,90 €
« Ce que je vais te dire te déplaira, déclara le vieil Ecossais à son petit-fils Andrew. Mais il faut que tu partes pour l'Italie. Il faut que tu ramènes ici, dans cette maison qui est la sienne, une petite fille… » A Rome, la surprise du jeune homme est grande, lorsqu'il se trouve en présence d'une vraie jeune fille, pleine de spontanéité et de charme. Dans la vieille demeure de Glenkeit, Tessa n'aura nulle peine à conquérir le coeur du beau vieillard qu'est Daniel Meldrum. Et celui de Margaret… Mais l'implacable tante Hester oppose la plus farouche haine. Un jour, dans l'épais brouillard qui baigne la lande, Tessa s'est attardée et elle s'est perdue. Un séduisant cavalier la sauve et la ramène. Il se nomme Nigel. Il habite une belle demeure. Il offrira bientôt son coeur et sa fortune à Tessa… Mais Tessa se demande si ce n'est pas l'autre qu'elle aime… L'autre, qui demeure muré dans une réserve farouche… et qui doit croire Tessa— la fille de Véronique — indirectement responsable des malheurs de sa famille… Au cours de la splendide fête de la Gathering ; au cours de la partie de chasse chez Nigel… Tessa a toujours la malchance et les apparences contre elle… La lettre qu'elle finit par découvrir, grâce à la brave Isobel, cette lettre qui prouve une innocence, servira-t-elle à dissiper enfin les malentendus ?

N° 1577 - C'est ça l'amour ! (Jean Delhat)

2,90 €
Extrait : Maud Géniat secoua, rêveuse, la cendre de sa Chesterfield, et renversée dans son fauteuil, se laissa bercer par la tendre mélodie que sa jeune soeur Anne-Marie venait de faire éclore dans le silence du studio, en tournant simplement le bouton laqué blanc du poste de radio. Anne-Marie chantonnait en esquissant un pas de valse. Maud la vit s'arrêter devant la cheminée…

N° 1546 - Son plus beau rôle (Alex Redry)

3,74 €
Extrait : Marianne ne pouvait détacher son regard du revolver dont le canon pointait vers sa poitrine à travers la poche de l'homme assis en face d'elle. Ce geste n'était pas une vaine menace : il suffisait de voir la tête du bandit pour se convaincre qu'il était capable de tout. Le mieux était qu'elle demeurât « sage » - comme il le lui recommandait - en subissant passivement son sort. D'ailleurs, qu'aurait-elle pu faire pour y échapper ? Même si elle essayait de se révolter, qui entendrait son appel au secours ? L'auto roulait à une vitesse folle sur la route de « quarante sous », doublant les plus rapides ; et ses glaces étaient levées, comme celles des voitures qu'elle dépassait, car le droit était vif. Malgré tout son courage, Marianne ne voyait ses ravisseurs qu'à travers un voile de larmes. Elle était entièrement, définitivement à leur merci. Rien ne pouvait plus la sauver…
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