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  • Auteurs: Jean Glachant
  • Auteurs: John Cleary
Tornade sur la ville d'après le roman de John Cleary - BS Lecture 3142
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N° 3142 - Tornade sur la ville d'après le roman de John Cleary

2,90 €
Tornade sur la ville d'après le roman policier de John Cleary Extrait : Le temps commença à être menaçant le samedi soir. Ce n'était pas inhabituel à cette époque de l'année : quand l'hiver cède la place au printemps, le même type de temps se développe au-dessus du continent américain. Tard dans la soirée, un système de basses pressions permit la concentration de l'air froid et sec sur les pentes est des Montagnes Rocheuses tandis que vers le sud, des flots d'air chaud et humide émergèrent du golfe du Mexique. Les deux fronts, tels les éléments d'une armée, s'approchèrent inexorablement l'un de l'autre. A Kansas City, dans le Missouri, le centre de recherches météorologiques publia un premier bulletin : une tornade d'une grave intensité était en vue. Dans la ville de Friendship, au sud-ouest du Missouri, l'officier de service, Jack Atcheson, reçut le message à minuit et fit une note pour informer les radios locales…

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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