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  • Auteurs: Jean Glachant
  • Auteurs: Marah Woolf
  • Auteurs: Sara Seale

Les brumes d'Avallach (Marah Woolf)

7,48 €
Après le décès de sa mère, Emma, dix-sept ans, quitte les États-Unis pour rejoindre la seule famille qui lui reste sur la petite île de Skye en Écosse. Là-bas, elle rencontre Calum, un étrange jeune homme. Tour à tour prévenant et glacial, il semble cacher un secret inavouable. Ce que l’adolescente ignore, c’est qu’en se rapprochant de lui elle les met tous les deux en danger de mort. Emma découvrira que les légendes des brumeux Highlands sont plus réelles et dangereuses qu’elle ne l’aurait imaginé. Et qu’avec Calum ils sont peut-être le dernier espoir de deux mondes que tout oppose.

N° 55 - Un château dans les nuages (Sara Seale)

2,55 €
Ralph O'Rafferty a hérité de ses ancêtres un vieux château quelque peu délabré, Slyne Castle, situé au nord de l'Irlande, et, pour pouvoir le conserver, il a dû se résigner à accueillir des hôtes payants. Un de ses anciens camarades de régiment, Noël Maule, qui a fait appel à sa soeur Marcia, dirige le château-hôtel. Tous deux ont fait engager par le maître de céans une secrétaire, Julie Ware, qui, dès son arrivée, suscite la jalousie de Marcia : Julie est, en effet, une belle fille rousse aux yeux verts… Or, Marcia l'a compris, Ralph est troublé par la chevelure flambayante de la jeune fille qui lui rappelle celle de sa fiancée disparue. Il faudra que survienne un événement grave pour que Julie puisse dénoncer certains coupables agissements… Vous aimerez l'héroïne sympathique de cette histoire, dont l'action se déroule dans un décor irlandais, attachant et original.

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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