Accueil

Accueil

Il y a 2 produits.

Affichage 1-2 de 2 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Jean Glachant
  • Auteurs: Régis Saint-Hélier
La Réussite de Rosine (Régis Saint-Hélier) - Editions Tallandier
  • Nouveau

La Réussite de Rosine (Régis Saint-Hélier)

3,95 €
Trois jours de voyage inconfortable — à l'époque des diligences — amènent à Paris une bergère d'Auvergne, Rosine Lacouze, riche de la seule beauté de ses seize ans. Sa première chance, c'est la rencontre de Mlle Aurélia, directrice d'une maison de couture célèbre dans ce Paris de la fin du règne de Louis-Philippe. Engagée comme femme de chambre, Rosine ne restera pas longtemps à ce poste ; son goût très sûr, son intuition, son charme la hissent rapidement à la tête de la maison « Aurélia et Rosine ». C'est le succès, la renommée. Veuve du peintre Jean Duveyrt, Rosine est riche, mais seule, seule avec, au coeur, l'amour qu'elle a voué à jamais à son compagnon d'enfance Amable Chassagne. Qu'est devenu le berger aux doigts habiles, qui sculptait le bois ? Or, lors d'une visite au Salon, quel émoi, soudain, fit battre le coeur de Rosine ? Cette tête de chien en terre cuite, elle la reconnaît tout de suite, c'est celle de son chien Griffon…

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire