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  • Auteurs: Jean Glachant
  • Auteurs: Léo Sabatini
  • Auteurs: Sarah Keene

N° 3444 - Le maléfice (Suzanne de Arriba) - La mort était au rendez-vous (Léo Sabatini)

4,50 €
Encarts BS Lecture 3444 à détacher Le maléfice Une nouvelle inédite de Suzanne de Arriba Qui est réellement Jérôme, l'homme que Céline aime. En qui de toutes ses forces elle veut croire ? Arrivée avec lui dans les Alpes pour une nouvelle existence, Céline commence à l'interroger. Faisant mentir certains stéréotypes, la nature si belle à regarder peut se montrer dure, implacable, voire hostile. Céline le découvre chaque jour. Le ciel bleu, l'herbe et les fleurs sur les pentes, tout cela s'efface un jour : c'est l'hiver, la neige, les tempêtes. Mais il y a Jonathan, un bien curieux berger. A-t-elle le droit de s'abandonner à la tendre amitié qu'il  lui propose, lui qui connaît tout de ces montagnes qui a présent effraient Céline ? Quel rôle Louise, la soeur de Jonathan, tient-elle dans la vie secrète de Jérôme ? Peu à peu le voile du passé se déchire, les fragments du puzzle se mettent en place. Jonathan vaincra-t-il le maléfice qui pèse sur les Ossières ? Trouvera-t-il dans la tempête, au sens propre comme au figuré, le chemin qui mène à Céline… La mort était au rendez-vous Une nouvelle policière inédite de Léo Sabatini.

N° 139 - Un pirate au paradis (Sarah Keene)

2,95 €
Dans son rêve, elle était Miranda du conte de Shakespeare, vêtue d'une robe longue, ornée de cygnes et de croissants de lune. Elle se trouvait au coeur d'une forêt magique. Un animal aux yeux brillants surgit soudain des buissons. Miranda s'approcha doucement pour mieux discerner la silhouette dans la lumière du clair de lune. C'était le monstre Caliban ! Il l'appela d'une voix rauque et suppliante. Emue par cet être mi-homme mi-bête, Miranda voulut le caresser… C'était Jake Delacroix…

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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