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  • Auteurs: Jean Sue Macleod
  • Auteurs: Maurice Bernard

N° 84 - Le maître de Glenkeit (Jean Sue Macleod)

9,90 €
« Ce que je vais te dire te déplaira, déclara le vieil Ecossais à son petit-fils Andrew. Mais il faut que tu partes pour l'Italie. Il faut que tu ramènes ici, dans cette maison qui est la sienne, une petite fille… » A Rome, la surprise du jeune homme est grande, lorsqu'il se trouve en présence d'une vraie jeune fille, pleine de spontanéité et de charme. Dans la vieille demeure de Glenkeit, Tessa n'aura nulle peine à conquérir le coeur du beau vieillard qu'est Daniel Meldrum. Et celui de Margaret… Mais l'implacable tante Hester oppose la plus farouche haine. Un jour, dans l'épais brouillard qui baigne la lande, Tessa s'est attardée et elle s'est perdue. Un séduisant cavalier la sauve et la ramène. Il se nomme Nigel. Il habite une belle demeure. Il offrira bientôt son coeur et sa fortune à Tessa… Mais Tessa se demande si ce n'est pas l'autre qu'elle aime… L'autre, qui demeure muré dans une réserve farouche… et qui doit croire Tessa— la fille de Véronique — indirectement responsable des malheurs de sa famille… Au cours de la splendide fête de la Gathering ; au cours de la partie de chasse chez Nigel… Tessa a toujours la malchance et les apparences contre elle… La lettre qu'elle finit par découvrir, grâce à la brave Isobel, cette lettre qui prouve une innocence, servira-t-elle à dissiper enfin les malentendus ?

N° 230 - Le passé est mort (Maurice Bernard) - Yvonne DE CARLO en couverture

3,50 €
Le passé est mort Roman d'amour inédit par Maurice Bernard Extrait : — Une transfusion est nécessaire immédiatement, dit le professeur Malret, après qu'il eût examiné le blessé qui venait d'être transporté dans sa clinique. Celui-ci avait été trouvé chez lui, baignant dans une mare de sang, le poignet gauche portant la marque d'une entaille profonde par où s'était échappé la vie. Un coup de téléphone avait prévenu le service intéressé de la clinique de l'urgence du transport. Dans le portefeuille du jeune homme on avait trouvé ses papiers d'identité. Il s'appelait Jean Berty, 25 ans, demeurant rue Mercelis, pas très loin de la clinique. Sa carte portait comme profession : peintre. C'est tout ce qu'on savait de lui. Il était là, livide, sur la civière roulante. Aucun signe de vie ne se manifestait en lui. On l'aurait cru mort si les faibles pulsations qui se révélaient encore au pouls n'avaient prouvé le contraire…
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