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  • Auteurs: Claude Virmonne
  • Auteurs: Jean Sue Macleod
  • Auteurs: Paul Salmon

N° 84 - Le maître de Glenkeit (Jean Sue Macleod)

9,90 €
« Ce que je vais te dire te déplaira, déclara le vieil Ecossais à son petit-fils Andrew. Mais il faut que tu partes pour l'Italie. Il faut que tu ramènes ici, dans cette maison qui est la sienne, une petite fille… » A Rome, la surprise du jeune homme est grande, lorsqu'il se trouve en présence d'une vraie jeune fille, pleine de spontanéité et de charme. Dans la vieille demeure de Glenkeit, Tessa n'aura nulle peine à conquérir le coeur du beau vieillard qu'est Daniel Meldrum. Et celui de Margaret… Mais l'implacable tante Hester oppose la plus farouche haine. Un jour, dans l'épais brouillard qui baigne la lande, Tessa s'est attardée et elle s'est perdue. Un séduisant cavalier la sauve et la ramène. Il se nomme Nigel. Il habite une belle demeure. Il offrira bientôt son coeur et sa fortune à Tessa… Mais Tessa se demande si ce n'est pas l'autre qu'elle aime… L'autre, qui demeure muré dans une réserve farouche… et qui doit croire Tessa— la fille de Véronique — indirectement responsable des malheurs de sa famille… Au cours de la splendide fête de la Gathering ; au cours de la partie de chasse chez Nigel… Tessa a toujours la malchance et les apparences contre elle… La lettre qu'elle finit par découvrir, grâce à la brave Isobel, cette lettre qui prouve une innocence, servira-t-elle à dissiper enfin les malentendus ?

N° 531 - Le Secret du lys rouge (Claude Virmonne)

5,94 €
Dans sa somptueuse villa de Florence, la comtesse della Torre est minée par un double chagrin : la mort de son mari à laquelle s'ajoute le remords d'avoir chassé du foyer de son père Francesca, sa belle-fille. Elle a vainement essayé de l'oublier… Bien des années ont passé lorsqu'une jeune parente de la comtesse, Irène, lui suggère un jour de chercher Francesca qui n'a jamais donné signe de vie, ou, à défaut, ses descendants. Une annonce est insérée dans la presse. Elle conduit à la villa un jeune homme, Fausto, qui se dit le fils de Francesca. Il a beaucoup de charme ! Vite conquise, la comtesse favorise une idylle entre Fausto et Irène La jeune fille est cependant troublée par Emmanuel, le secrétaire aux allures de prince. Quand Emmanuel — poussé par la jalousie, peut-être — accuse Fausto d'imposture, c'est le drame…

N° 438 - Au risque d'aimer (Claude Virmonne)

4,54 €
« Surtout, ne te risque pas à aimer. L'amour est source de souffrance et de douleur… » Ainsi la mère de Monique l'avertissait-elle avant de mourir. Que valent les recommandations d'une mère pour celle qui n'est plus une enfant mais une femme à la recherche du bonheur ? Ce bonheur, à plus de vingt ans Monique l'attend toujours, irrésistiblement attirée par le château de Montclare qui semble pourtant avoir été la scène où sa mère a vécu, au temps de sa jeunesse, un véritable drame. A Monique elle n'a dévoilé qu'une partie de son passé, justifiant sa mise en garde. Monique, néanmoins, se rend à Montclare et devient la dame de compagnie de la vieille châtelaine, Mme del Florido qui l'accueille avec sympathie, alors que son entourage reste hostile à la nouvelle venue. Mêlée bientôt malgré elle aux angoisses qui accablent la famille del Florido, en essayant de les alléger Monique va connaître le déchirement d'un amour qui choisit de se sacrifier. « Surtout, ne te risque pas à aimer… » disait sa mère. Avec raison ?

Le chemin de mensonges (Claude Virmonne)

3,98 €
Extrait : Si des fleurs blanches et de la verdure en quantité décoraient l'église ancienne, la cérémonie avait été très simple, en présence des seuls témoins. Tout, pour Jasmine, s'était déroulé comme dans un rêve ; elle en émergea seulement quand, après le prélude concernant les devoirs réciproques des époux, le prêtre fut devant elle pour lui poser la question rituelle…

N° 1152 - Quand fleurit l'amour (Paul Salmon)

3,05 €
Extrait : — Voilà qu'il pleut !… Ah ! il ne manquait plus que cela. Moi qui n'ai pas de parapluie !… Et Denise Laurel levait vers le ciel gris de novembre un regard désolé. En effet, l'averse se déclenchait, tombant en gouttes fines et serrées. Résignée, la jeune fille courba le dos, se pelotonnant en son mince manteau beige dont elle ramena frileusement les revers sur sa poitrine. Puis hâtant le pas, rasant les boutiques, elle poursuivit sa marche. C'était une jolie brune de dix-huit ans, aux grands yeux bleu sombre. Le visage, d'un ovale parfait, avait des traits fins et réguliers, une de ces têtes dont les maîtres de la Renaissance gratifiaient leurs madones. Le teint pâle le paraissait encore davantage par contraste avec les sourcils, les cils presque noirs. Le nez, petit et droit, d'un dessin correct, dominait une bouche aux lèvres rouges s'entr'ouvrant sur des dents petites, blanches, parfaitement rangées. De taille moyenne, Denise Laurel semblait grande tant elle était svelte ; admirablement proportionnée, elle avait une grâce qu'elle ne soupçonnait point elle-même et qui, cependant, était très réelle…
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