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  • Auteurs: Jean Vignaud
  • Auteurs: Judy Duarte
Une si douce torture / Un pas vers le bonheur - Harlequin Passions N° 678
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N° 678 - Une si douce torture (Kat Cantrell) - Un pas vers le bonheur (Judy Duarte)

4,75 €
Une si douce torture (Kat Cantrell) Affaires ou séduction ? Volet 4/4 Belles, fortes et indépendantes, elles refusent de choisir entre carrière et amour…  Pour sauver son entreprise de cosmétiques, au bord de la faillite, Trinity est prête à tout. Même à se faire passer pour la fiancée du célèbre joueur de hockey Logan McLaughlin. Bien qu’il soit son pire ennemi, sa notoriété ne peut que lui faire de la publicité… Hélas, à l’instant où Logan lui vole un baiser – suave, sensuel et passionné –, Trinity est totalement perdue. Désormais, chaque instant passé à ses côtés devient une torture des plus douloureuses, pour elle qui n’a plus vraiment l’impression de faire semblant… Un pas vers le bonheur (Judy Duarte) Braden ne décolère pas. Embaucher Elena Ramirez était bien la pire idée qu’il ait jamais eue ! Car chaque jour passé avec elle lui renvoie l’image d’un foyer idéal : belle, douce et attentionnée, Elena s’occupe de surcroît à merveille des petites nièces dont il a la garde depuis la disparition de sa sœur bien-aimée. Seulement voilà, il doit se concentrer sur son nouveau rôle de père, sans se laisser distraire. Aussi n’a-t-il plus le choix : il va chercher une remplaçante à Elena au plus vite…

La maison du maltais (Jean Vignaud) - Collection Gründ illustrée N° 16

4,50 €
Extrait : Chapitre VII Le matin jeta dans la rue un autre Matteo, un Matteo impatient, qui, dans sa hâte de se mettre au travail, bouscula sans le reconnaître le fumigateur dont l'encens parfumé de benjoin distribue, pour la semaine, du bonheur dans chaque maison. Franchie la Porte de la mer, il enleva ses sandales pour courir plus vite vers le quai aux phosphates. Il avait suffi d'une nuit d'amour pour opérer ce miracle. Jamais Matteo n'avait connu semblables délices ; certains mots l'exaltaient encore comme si Safia eût été présente. Lui, pauvre portefaix, avait été salué par cette beauté des îles comme un prophète « Ia Robbi, Ia Allah, ô mon maître, ô mon Dieu ! » Safia entre ses bras avait soupiré ces paroles, le corps palpitant comme celui d'un pigeon qu'on étouffe. Et c'est pour réentendre ces mots, ces soupirs, qu'il lui fallait de l'argent. Il voulait, tout comme les notables qui cachaient des fortunes derrière leurs haies de tabias, dans la banlieue sfaxienne, pouvoir parer sa maîtresse, l'étourdir de cadeaux. Fini, désormais, le temps où Matteo musait d'une barque à l'autre, criblant de ses quolibets Maltais et Siciliens ; finies, les flâneries chez Gordina, les siestes sur le sable chaud du chenal. Tout cela était le passé, un cadavre que Safia avait piétiné de ses petits talons marqués de henné…
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