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  • Auteurs: Jean Vignaud
  • Auteurs: Olivia Gates
Le serment de Black Castle : Le prix de la revanche & L'épouse d'Ivan Konstantinov  - Harlequin Passions N° 688
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N° 688 - Le serment de Black Castle : Le prix de la revanche & L'épouse d'Ivan Konstantinov (Olivia Gates)

3,75 €
Le serment de Black Castle Volumes 5 et 6/6 Leur enfance brisée a fait d'eux six milliardaires impitoyables, assoiffés de vengeance… mais aussi de passion. Le prix de la revanche (Olivia Gates) Séduire l’intrépide Liliana Accardi est vraiment la pire idée qu’il ait jamais eue ! Le plan d’Antonio était pourtant simple : pour pouvoir approcher ses parents biologiques – qui l’ont abandonné alors qu’il n’avait que quatre ans – et se venger d’eux, il devait attirer dans son lit la belle Liliana, et s’introduire ensuite dans le clan aristocratique qu’elle et ses parents fréquentent… Ce qu’Antonio n’avait pas prévu, en revanche, c’est que Liliana devienne l’unique objet de ses pensées. Car, maintenant qu’il l’aime plus que de raison, que se passera-t-il si elle découvre qu’il s’est servi d’elle ? L'épouse d'Ivan Konstantinov (Olivia Gates) Anastasia, mon ange, marions-nous sans attendre. Puis retournons en Russie. À l’instant où Ivan – le traître qui l’a lâchement abandonnée sept ans plus tôt alors qu’ils vivaient une merveilleuse idylle – prononce ces mots, Anastasia sent une colère sourde monter en elle. Comment Ivan ose-t-il faire comme s’il ne s’était rien passé ? Et lui infliger une telle souffrance, à elle, qui n’a jamais pu l’oublier ? Du temps a passé, pourtant, et cette fois Anastasia est plus résolue que jamais : elle ne laissera pas son cœur lui dicter sa loi…

La maison du maltais (Jean Vignaud) - Collection Gründ illustrée N° 16

4,50 €
Extrait : Chapitre VII Le matin jeta dans la rue un autre Matteo, un Matteo impatient, qui, dans sa hâte de se mettre au travail, bouscula sans le reconnaître le fumigateur dont l'encens parfumé de benjoin distribue, pour la semaine, du bonheur dans chaque maison. Franchie la Porte de la mer, il enleva ses sandales pour courir plus vite vers le quai aux phosphates. Il avait suffi d'une nuit d'amour pour opérer ce miracle. Jamais Matteo n'avait connu semblables délices ; certains mots l'exaltaient encore comme si Safia eût été présente. Lui, pauvre portefaix, avait été salué par cette beauté des îles comme un prophète « Ia Robbi, Ia Allah, ô mon maître, ô mon Dieu ! » Safia entre ses bras avait soupiré ces paroles, le corps palpitant comme celui d'un pigeon qu'on étouffe. Et c'est pour réentendre ces mots, ces soupirs, qu'il lui fallait de l'argent. Il voulait, tout comme les notables qui cachaient des fortunes derrière leurs haies de tabias, dans la banlieue sfaxienne, pouvoir parer sa maîtresse, l'étourdir de cadeaux. Fini, désormais, le temps où Matteo musait d'une barque à l'autre, criblant de ses quolibets Maltais et Siciliens ; finies, les flâneries chez Gordina, les siestes sur le sable chaud du chenal. Tout cela était le passé, un cadavre que Safia avait piétiné de ses petits talons marqués de henné…
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