Accueil

Accueil

Il y a 4 produits.

Affichage 1-4 de 4 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Jean d'Astor
  • Auteurs: Pierre Peter
Le mirage de l'amour (Pierre Peter) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1889
  • Nouveau

N° 1889 - Le mirage de l'amour (Pierre Peter)

4,50 €
Extrait : Lorsque j'arrivai à mon bureau avec, comme d'habitude, un petit quart d'heure de retard — un tout petit quart d'heure fort heureusement — tout le personnel était en ébullition. J'en fus fort aise et en profitai pour me faufiler discrètement jusqu'au vestiaire afin de me changer, puis, l'opération terminée en un temps record, je vins prendre ma place derrière ma machine, c'est alors que je me rendis compte que quelque chose d'anormal devait se dérouler. Faisant signe du coin de l'oeil à Guitte, l'ariette, je lui soufflai : — Qu'est-ce qui se passe, Poison ? Ils ont tous des têtes. Guitte me considéra d'un air étonné, puis un mauvais sourire apparut sur ses petites lèvres minces. …Tout le monde sait que nous ne nous aimons pas, Guitte et moi, d'abord parce qu'elle ressemble toujours à une souillon et que j'adore la propreté, ensuite parce qu'elle est sournoise et cafarde, or, je me fais une joie et un honneur de proclamer partout que ce qui compte le plus à mes yeux est la franchise, la loyauté, et à chaque fois je prends Julien pour exemple…

Les voleurs de Sophie (Jean d'Astor)

6,98 €
Sophie est la jeune fille la plus exquise que l'on puisse rêver : jolie, intelligente, bien élevée ! Un seul défaut : elle a un faible pour les mauvais garçons. Son excuse : très jeune elle a perdu sa mère et, personne ne surveillant ses lectures, elle s'est intoxiquée de romans policiers. Elle en vient à se passionner pour les exploits de Maxime Brochet, gentleman cambrioleur célèbre digne émule d'Arsène Lupin. Le père de Sophie s'inquiète de ce penchant bizarre, mais c'est surtout sa tante Géraldine, vieille demoiselle pittoresque, qui tire la sonnette d'alarme : qu'adviendra-t-il si Sophie, un jour, se trouve réellement aux prises avec un mauvais garçon ? Or, au cours d'un bal costumé, Sophie danse avec un bel inconnu dont elle tombe éperdument amoureuse. Qui est-il ? Ses propos sont bien étranges, son comportement plus étrange encore…

La belle et le menteur (Jean d'Astor)

2,98 €
Soudain, juste avant l'arrivée, une voiture surgit d'un petit chemin sur la gauche. Les freins hurlent, mais trop tard, et les deux capots s'immobilisent dans un choc violent... Rien de grave, sinon que Jean-François est un simple vendeur de voitures et que cette luxueuse Jaguar n'est pas à lui : il a pour mission de la conduire chez un milliardaire américain, J.F. Lackson, qui vient d'acquérir une propriété en Touraine. Rien de grave, sinon qu'au volant de la voiture adverse se trouve une ravissante jeune fille, Claudine, dont Jean-François tombe instantanément amoureux. Si bien qu'il n'a pas le courage de la détromper quand elle le prend pour Lackson... Un mensonge innocent — mais qui va connaître des prolongements inattendus. Car le hasard malicieux multiplie les quiproquos autour du jeune homme et, bientôt, une idée extravagante germe dans son esprit : pour revoir Claudine, pour s'accorder pendant une semaine une illusion de bonheur, il va se lancer dans la plus folle des aventures. L'amour lui donne toutes les audaces. Jonglant avec les difficultés et les risques, il réussit à vivre intensément son rêve... Mais quel sera le réveil ? Il se le demande anxieusement dès le premier jour — et le lecteur dès les premières pages...

N° 1942 - La peur du bonheur (Pierre Peter)

4,50 €
Extrait : — Résection… Automatiquement, je posai la pince dans le gant de caoutchouc qui se tendait. Lorsqu'elle fut en place, Jean-Loup aboya presque en tendant de nouveau sa main gauche ; — Cautère !… J'obéis aussi docilement et l'instrument porté au rouge se mit à fouiller dans l'ouverture qui balafrait le haut du ventre du patient, stérilisant du même coup les lèvres de la plaie qu'il venait de pratiquer dans l'intestin. Tendu de tous ses nerfs, Jean-Loup transpirait à grosses gouttes. Je l'essuyai aussitôt délicatement. Il ne me remercia même pas, mais je sentis tout de même qu'il m'en était profondément reconnaissant. Question d'intuition sûrement. Dès qu'il eut terminé cette partie de son travail, je lui tendis machinalement une suture spéciale, sans chas. L'éclair de satisfaction qui passa dans ses yeux me récompensa largement de toutes mes précédentes initiatives…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire