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Il y a 4 produits.

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  • Auteurs: Jean de Fervacques
  • Auteurs: Léopold Remon
  • Auteurs: Rodolphe Thierry

D'Artagnan mousquetaire du Roy (Rodolphe Thierry)

5,96 €
Le jeune d'Artagnan et ses amis les Mousquetaires ne sont pas, comme on pourrait le croire, ces héros imaginaires illustrés par un célèbre roman de cape et d'épée. Le nom du bouillant gentilhomme gascon revient souvent dans les chroniques du temps et deux gros ouvrages de mémoires retracent l'ensemble de sa carrière mouvementée. Il est même assez surprenant de constater que ces documents l'emportent en intérêt sur la fiction et fourniraient la matière de multiples romans d'aventures. Rodolphe Thierry, dans cet ouvrage qui forme un vivant témoignage d'époque, s'est attaché à faire revivre d'Artagnan dans les circonstances de sa carrière où il a touché le plus près à l'histoire de son temps : ses démêlés avec le cardinal de Richelieu, puis avec Mazarin ; sa brillante conduite au siège d'Arras, à la bataille de Rocroy, enfin la première apparition publique du petit prince qui devait être plus tard le roi Louis XIV. Dès 14 ans, les jeunes liront avec un grand intérêt ce beau récit qui met à leur portée, dans ce qu'elle a de plus audacieux et de plus chevaleresque, l'inoubliable figure du mousquetaire d'Artagnan.

Un secret en danger (Ernest Fornel) - Collection Printemps Recueil N° 37

12,00 €
Recueil de 6 romans complets - Un secret en danger (Ernest Fornel) : N° 217 paru en 1937, - L'aire des aiglons (Jean de Fervacques) : N° 218 paru en 1937, - Tôt ou tard (Michel Dorlys) : N° 219 paru en 1937, - La maison cernée (Claude Renaudy) : N° 220 paru en 1937, - Sports d'hiver (Thérèse Bernardis) : N° 221 paru en 1937, - Rose-des-vents (Maria de Crisenoy) : N° 222 paru en 1937.

N° 1696 - Sa vraie maman ! (Léopold Remon)

2,92 €
Extrait : C'était une pauvre demeure que celle où la vieille Marie Méry se mourait. Une grande pièce au sol dallé, une alcôve et un petit réduit où l'on gardait quelques provisions, composaient le modeste intérieur. Des bouquets d'oignons suspendus décoraient les poutres. La vaste cheminée, quelques misérables meubles ornaient la pièce principale qui s'ouvrait de plain-pied sur le jardinet. Parfois, deux ou trois poules effrontées s'aventuraient jusqu'à la paillasse où dormait Pierrette. C'était toute la basse-cour de Marie Méry qui nourrissait ces volatiles de quelques miettes, et leur laissait le soin de dénicher dans les champs d'alentour le plus clair de leur subsistance. Pauvre, Marie Méry l'était, mais à la façon indifférente des vieilles paysannes qui savent côtoyer la misère sans tomber dans le sordide. Elle ne possédait aucun bien, n'avait ni bétail, ni terre. Et la maison ne lui appartenait qu'en vertu de son abandon dont elle avait su profiter depuis si longtemps…

N° 1714 - Personne au monde... (Léopold Rémon)

3,74 €
Extrait : Quand Charles Bocham pénétra dans son bureau, le scribe indigène était déjà au travail. Le jeune homme bourra sa pipe, déplaça quelques dossiers, prit un roman policier. C'était vraiment un emploi de tout repos. L'employé maori se chargeait des paperasses et s'en tirait fort bien tout seul. Pourtant, le règlement prévoyait que le titulaire du poste devait être licencié en droit. Voilà pourquoi, depuis trois ans, Charles Bocham avait quitté la France. Trois ans ! Il avait débarqué à Tahiti comme Alice au pays des merveilles. C'était presque trop beau, trop colorié. L'air était trop doux, les parfums trop sucrés, la mer et le ciel trop bleus. Mais avec le temps, les couleurs s'étaient ternies, les parfums fanés. Aujourd'hui, Charles Bocham crevait d'ennui. Même la prochaine venue de sa fiancée ne parvenait pas à le tirer de sa lassitude. Le bateau, actuellement, devait franchir le canal de Panama. Il lui faudrait dix-huit jours avant de pénétrer dans la rade de Papeete. Ce délai parût soudain formidablement long à Charles Bocham, plus long que les trois années pendant lesquelles il avait attendu, tout d'abord, sa titularisation, constitué ensuite un petit pécule pour monter son ménage. A présent que le but était en vue, il se rendait compte qu'il n'en pouvait plus, que sa chair et son âme se refusaient à prolonger l'épreuve…
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