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Il y a 9 produits.

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  • Auteurs: Anne Claire
  • Auteurs: Jean de la Hire
  • Auteurs: Marianne Andrau

N° 644 - L'amoureuse du Roi (Jean de la Hire)

2,92 €
Extrait : Guillaume Ier de Hohenzollern, roi de Prusse et empereur d'Allemagne, leva un peu sa tête de vieillard soigné, à laquelle l'éclatante blancheur des cheveux, de la moustache et les longs favoris donnaient un caractère vénérable, et il fixa des yeux mornes, lourds, sur le prince Otto de Bismarck, grand chancelier de l'Empire. En petite tenue de général d'infanterie, debout et colossal devant son maître assis et tassé dans un fauteuil bas, le prince accentuait encore la brutalité ordinaire de son visage et de son attitude, par l'expression de colère haineuse qui avait animé ses dernières paroles et maintenant faisait étinceler ses yeux…

L'amour d'une autre (Marianne Andrau)

4,94 €
Lorraine Lomond a accepté, pour ses vacances, d'accompagner en Grèce Mrs Willcox, de s'occuper, pendant le voyage, de Patty, la nièce de Mrs Willcox. Sur le San Giorgio qui les transporte au Pirée, Lorraine fait connaissance d'un reporter, Georges Bléziot. Mais Lorraine est surtout attirée par un passager très séduisant, qu'elle a surpris en larmes en regardant le canal de Corinthe. C'est un avocat parisien, Denis Meyrins, dont la provocante Jane Willcox et même la jeune Patty apprécient également le charme. Hélas ! on se sépare à Athènes. Mais pendant la randonnée dans la Grèce antique, les voyageuses auront plusieurs fois l'occasion de rencontrer Denis Meyrins. Il voyage seul, en voiture. On l'aperçoit un peu partout en compagnie de femmes. Quel homme est-ce donc ? Un Don Juan ? Ou bien y a-t-il dans sa vie un secret qui expliquerait son attitude ? (Source : Librairie Jules Tallandier)

Un amoureux et sept complices (Marianne Andrau)

3,60 €
Ça a commencé comme un jeu et ce jeu a failli devenir un drame… Brune et fragile Anita, jeune employée d'une maison de publicité parisienne, vous ne vous doutiez pas, dans votre retraite nécessaire du lac Léman, que les lettres, amicales d'abord, affectueuses ensuite, tendres enfin, que vous receviez chaque jour étaient écrites par un collègue de travail, artisan du complot tramé, pour vous distraire dans votre solitude, par vos camarades de bureau. Non, vous ne vous doutiez pas de cette machination et vous avez cru, tout de suite, à la sincérité de votre correspondant. Votre foi en cet amour merveilleux ne va-t-elle pas s'écrouler quand, en intervenant à leur tour, les complices entreront en scène ? L'amitié d'Anita et de Marceline, devenues rivales, résistera-t-elle à la vérité ? Sauveront-elles leur bonheur, menacé par une supercherie innocente, mais dangereuse ? (Source : Librairie Jules Tallandier)

N° 3106 - Cet homme est à moi d'après le roman de Marianne Andrau

2,90 €
Extrait : Accoudée au volant de son taxi, Marine Jabert considéra l'enfilade matinale de l'avenue Victor Hugo. Les passants étaient rares. Quelle idée elle avait eue de sortir le taxi par ce dimanche de soleil, alors que Jacques lui avait proposé de l'emmener dans sa voiture en forêt de Chevreuse ! Mais après tout, Jacques l'avait encouragée à exercer ce métier. …

Un amour téméraire (Marianne Andrau)

2,48 €
« Plutôt que de poursuivre des études qui, manifestement, vous ennuient, vous feriez mieux de vous marier ! » Tel est le conseil que donne à Gwendolyne de Montfort le jeune examinateur Vincent Bourdet, exaspéré par la faiblesse des connaissances et l'impertinence de la candidate au baccalauréat. « Je n'ai pas attendu votre conseil, réplique Gwen. Permettez-moi de vous présenter ici mon fiancé, Bernard ». Peu de temps après, au cours d'une rencontre de vacances, Vincent devine le drame familial qui a faussé l'éducation de Gwen. Entre la jeune fille et Vincent, l'amour est sur le point de naître, mais la fantasque Gwen plaît aussi à Jean-Paul, compagnon du professeur. Cette rivalité amoureuse ne risque-t-elle pas de briser l'amitié des deux hommes ? Et quel jeu poursuit Hilda von Boehler qui semble nourrir une tenace rancune contre Gwen ? Cette dernière, sur le point de rompre ses fiançailles avec Bernard, décide soudain de rester fidèle à son engagement. Vincent n'aura-t-il connu qu'un amour… téméraire ?

Le solitaire de la lagune (Marianne Andrau)

3,62 €
A Paris, où elle vit avec son frère Joël, Annick Saint-Loubert décide d'aller passer ses vacances à Venise, dans la famille de son amie Carlita Vanoni. Carlita a un frère, Guido, jeune architecte à l'allure de prince blond qui s'empresse de faire à Annick des avances qu'elle estime prématurées. Carlita, d'ailleurs, attire l'attention d'Annick sur un de leurs voisins : le comte Aldo Bernedetti dont le palais somptueux se dresse au bord du Grand Canal. Très séduisant malgré ses quarante ans, Bernedetti est marié à l'une des plus belles femmes de Venise, la comtesse Laura. Trop sage pour s'intéresser à un homme qui n'est pas libre, Annick cédera-t-elle finalement aux déclarations ardentes de Guido ? On bien lui gardera-t-elle rancune du baiser qu'il lui a volé dans la nuit vénitienne ? Invitée au palais Bernedetti, Annick découvre l'activité mystérieuse qui retient le comte malgré lui dans "l'atelier aux cent portraits ". Elle découvre aussi que c'est son épouse qui le séquestre… Quel est donc le tragique secret de la comtesse Laura ?

N° 1656 - Je vous aime ! (Anne Claire)

3,74 €
Extrait : Eric Sauvage marchait lentement dans le petit square ombragé de vieux marronniers qui commençaient à se couvrir du brouillard vert des nouvelles feuilles. Il poussa du pied, à plusieurs reprises, un caillou rond comme du temps où il était petit garçon. Il se souvint soudain des gronderies de sa mère « Eric, Eric, je t'en supplie, tu m'uses toujours ton soulier droit deux fois plus vite que le gauche à cause de tes maudits cailloux !… Ne peux-tu voir à terre une pierre ou une vieille boîte sans la transformer en ballon de football, Eric ?… » Il sourit en lui-même à la chère image qui commençait à s'estomper. Ce rappel de sa mère lui réchauffa le coeur et lui rendit du courage. L'horloge du lycée sonna les trois quarts d'une heure. Des gamins passèrent près du jeune homme en se bousculant et en criant. Ils jetèrent leur cartable sur un banc et sortirent de leur poche un sac de billes. — Un quart d'heure encore avant le bahut, les vieux, on a le temps d'en faire une, cria le plus grand d'une voix éraillée de gamin qui s'égosille tout le jour…

N° 1647 - Une femme survint (Anne Claire)

3,05 €
Extrait : — Il me semble que j'entends battre la porte des chevaux. Crois-tu que Firmin l'ait fermée avant de monter se coucher ? — Je ne sais pas. Il n'oublie jamais, en général, mais il se peut que le vent l'ait rouverte. On dirait que tous les diables de l'enfer sont déchaînés ce soir. Tiens, les chevaux doivent sentir l'orage. Entends-tu la Blanche qui hennit. — Je crois que nous ferions bien d'aller voir et de vérifier si le poulailler est bien fermé, également. La nuit sera terrible. Depuis des années je n'ai vu un temps pareil ! Jean Michel se leva pesamment du fauteuil où il fumait sa pipe et se dirigea vers la porte. Son frère Robert se leva pour le suivre. Ils avaient tellement l'habitude de vivre ensemble, les deux « ours des Ronciers », comme on les appelait, que leurs mouvements avaient un synchronisme parfait. Jean ouvrit la porte qui donnait sur la terrasse et, tête baissé, résista en maugréant contre le vent…

N° 1692 - Douloureux problème (Anne Claire)

3,05 €
Extrait  : — Florence, appela une voix basse et impérieuse du fond de l'appartement, Florence où es-tu ? Une jeune femme mince et blonde qui se tenait devant la fenêtre et regardait les filles et les garçons en toilettes claires passer dans la rue, tressaillit comme si une main s'était posée sur son épaule. Elle repoussa brusquement les battants de la fenêtre. Il semblait qu'on venait de la surprendre en faute. — Je viens Régis, cria-t-elle. En traversant la pièce, elle s'arrêta devant un grand vase d'où jaillissaient des branches de lilas blanc et enfouit son visage dans les grappes fraîches et odorantes. Elle les respira avidement comme un prisonnier aspire l'air de la liberté. Du fond de l'appartement, la voix appela de nouveau : — Florence, j'ai besoin de toi, viens. La jeune femme se dirigea rapidement vers la chambre d'où venait l'appel. Dans un lit, face à lêa fentre, gisait un homme si ravagé par la souffrance et la maladie qu'il était difficile de lui donner un âge. Son visage était couleur de cire, ses yeux brillant de fièvre, s'enfonçaient profondément dans les orbites. Il respirait rapidement, avec peine…
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