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  • Auteurs: Jeanne Montcernac
  • Auteurs: Pierre Salva
Cendrillon des neiges (Jeanne Montcernac) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1685
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N° 1685 - Cendrillon des neiges (Jeanne Montcernac)

3,05 €
Extrait : Mariette entra dans le bureau directorial, l'air désinvolte et épanoui, un large sourire plissant les rides profondes de son bon vieux visage. Et, chose qu'elle ne se serait jamais permise en temps ordinaire, elle osa prendre la parole pour s'adresser à Mlle Decamps, assise à son vaste bureau, devant une baie, sans rideaux, qui encadrait l'immense et magnifique panorama de montagnes, couvertes de neige, étincelant sous un brillant soleil hivernal : — Enfin ! s'écrire-t-elle, dans une demi-heure, Mlle Régine sera là ! Ah ! Il me tarde bien de la revoir, après un an d'absence ! — Et à moi donc ! s'exclama Mlle Decamps, en faisant pivoter son fauteuil, et en montrant à Mariette un sourire aussi épanoui que le sien. La chère petite ! Je suis sûre qu'elle ne se tient pas d'impatience et de joie à l'idée de se retrouver chez elle ! — On ne peut pas en douter, répondit Mariette, d'autant plus qu'elle va être à la fête, ici ! Mademoiselle n'a encorejamais eu la direction d'un hôtel aussi beau, aussi confortable, et aussi bien fréquenté que le « Palace des Grandes Pentes »…

N° 3078 - La Fontaine des Amours (Clarence May) - Le diable est mort (Pierre Salva)

4,50 €
Encarts Lecture BS 3078 à détacher La Fontaine des Amours d'après le roman de Clarence May Revenant après une longue absence vers son village natal, Onellia s'arrête à Rome, au pied de « La Fontaine des Amours », et, surprise autant que lui, y rencontre Fabrizzio della Rebbia, un garçon de son pays, qu'elle n'avait plus vu depuis une dizaine d'années. Après le départ d'Onellia, ce dernier avait épousé une Américaine, morte il y a deux ans. Il vit maintenant dans une très belle propriété, à peu de distance de la demeure du père d'Onellia, avec Fiorella, sa fille de huit ans, et son jeune frère Alberto, bossu, mais qui possède des dons certains pour le dessin. Comme Onellia est aussi peintre, l'adolescent sera vite attiré vers la jeune fille, tandis que le coeur de celle-ci se met à battre pour Fabrizzio. Le diable est mort d'après le roman policier de Pierre Salva.

Le diable et son train électrique d'après le roman policier de Pierre Salva

2,90 €
Extrait : Lorsque Jean descendit du TGV dans la vieille gare de Lyon-Brotteaux, personne ne l'attendait, du moins, il le supposait. Quand il avait téléphoné au notaire chargé de régler la succession de son père, il lui avait indiqué son heure d'arrivée, mais il avait ajouté qu'il se débrouillerait seul puisqu'il connaissait Lyon comme sa poche. Et soudain, Charles, son frère aîné, fut devant lui…

N° 3311 - Le bal de Mexico (Laurie Verlay) - Quand le diable ricane (Pierre Salva)

4,50 €
Encarts Lecture BS 3311 à détacher Extraits  : Le bal de Mexico  d'après le roman de Laurie Verlay L'année finissait en beauté, par un froid vif, sous un ciel clair… Florence soupira et traversa le pont Alexandre III. Pour la première fois, elle allait passer ces heures de fête sans réveillon, sans visage ami ou aimé près d'elle. Comme elle s'engageait dans l'avenue Franklin Roosevelt, les réverbères s'allumèrent. Des guirlandes d'ampoules électriques brillèrent sur les branches des arbres bordant les Champs-Elysées… Quand le diable ricane  d'après le roman policier de Pierre Salva Adrien avait résolu de passer a nuit sur le voilier, ancré à deux cents mètres de la rive… Patrice pourrait donc rester un peu, après le départ des autres invités. A cette pensée, Sabine sentit une brusque chaleur l'envahir. Pour la première fois, à quarante ans, elle comprenait pleinement le sens de l'expression populaire : « avoir quelqu'un dans la peau »…

N° 1666 - Deux amours (Jeanne Montcernac)

3,74 €
Extrait : La porte du bureau de Me Lepoix, capitonnée de serge verte, s'ouvrit silencieusement… Une haute et mince silhouette s'insinua dans le chambranle : celle du premier clerc, Philippe Alaris. Il toussota très discrètement. Me Lepoix, comprenant à ce signal convenu entre eux, qu'il s'agissait de quelque chose d'important, fit rapidement pivoter son fauteuil pour faire face au jeune homme. Le tabellion était petit, replet, et le gilet sur lequel il croisait ses mains grassouillettes, était exagérément arrondi. Il avait un visage de gosse, que la cinquantaine avait vieilli sans lui donner une expression virile. Aussi, pour corriger ce trait, fâcheux chez un notaire, conseiller des meilleures familles de la région, portait-il d'énormes lunettes d'écailles, à verres carrés, et une mince moustache, taillée en brosse. — Excusez-moi, mon cher, fit-il au grand garçons désinvolte et élégant, assis en face de lui. — Je vous en prie, murmura celui-ci, en fixant le principal clerc d'un air dédaigneux et en répondant à peine à son salut…

N° 1390 - La rue en joie (Jeanne Montcernac)

3,05 €
Extrait : Par les fenêtres de la salle à manger, grandes ouvertes sur le boulevard Montparnasse, les flonflons des orchestres en plein vent entraient en vagues joyeuses. Des rires, des cris de femmes se mêlaient à la musique, à laquelle le grondement incessant de la vie parisienne formait comme une sorte d'accompagnement sourd. — Allez ! Encore une ! clama M. Versines en brandissant une bouteille de vin mousseux, au col doré. Ce n'est pas tous les jours qu'on fête le 14 juillet ! — Ça sera la cinquième ! Mais, ça ne fait rien, on lui règlera son compte quand même, pas vrai, les enfants ? Vas-y, Louis ! déclara gaillardement Mme Versines. Le bouchon sauta et le vin pétillant se répandit en cascade dans les coupes tendues. — A votre santé, les amoureux ! dit le père en levant la sienne. L'année prochaine, à cette épouque-là, vous serez mari et femme depuis un bon moment. — Mais je l'espère bien ! déclara Me Baudinot, en tournant vers sa fiancée un oeil chargé de flammes. Le plus tôt sera le mieux en ce qui me concerne. Qu'en dites-vous, Dada ? Avant que la grosse Danielle ait pu répondre, amère s'était empressée d'affirmer en son nom et place : — Pensez-vous, Henri ! Elle ne demande que ça !…
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