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  • Auteurs: Gladys Davidson
  • Auteurs: Jenna Ryan

N° 83 - Légende fatale (Jenna Ryan)

2,98 €
Et le jeu diabolique devint réalité… Depuis toujours, le professeur Nagel ne cesse de parler à qui veut l'entendre de son ennemi juré, le Visiteur, un voleur d'âmes à la solde de Satan. Habituée à ce qu'elle appelle les "élucubrations" du savant, Florence n'a jamais vraiment cru à l'existence de ce personnage diabolique qui n'est, selon elle, que la survivance d'une légende tirée du folklore local… Mais un jour qu'elle accompagne le professeur à Klausberg, le soi-disant village d'origine du Visiteur, elle constate avec effroi que certains habitants vouent à cet être maléfique une véritable vénération… A tel point qu'ils se livrent à un étrange jeu de rôles dans lequel deux élus ont pour mission d'affronter le Visiteur et de résister aux six tentations conçues par son cerveau démoniaque. Pour Florence, le jeu prend cependant une tournure dangereuse quand elle apprend qu'elle a été désignée comme élue… D'autant que son partenaire, Sebastian Marcos, un homme énigmatique aux allures de sorcier, prétend, avec une terrifiante gravité, vouloir l'entraîner dans un combat contre les forces du Mal…

N° 706 - La rose magique (Gladys Davidson)

12,00 €
Extrait : I - Deux Princes Il était une fois un vieux Roi fort riche, qui avait un très méchant fils et un neveu très bon. Le fils se nommait le prince Ragio ; et ce nom lui allait à merveille, car on ne vit jamais Prince plus désagréable, plus laid, plus stupide, et d'un caractère plus mauvais, dans tout le Monde des fées. Personne ne l'aimait, et le peuple tremblait à la pensée qu'un jour il serait le maître ; car, au lieu de s'occuper des affaires de l'état, comme un Prince sage doit le faire, il passait tout son temps à s'amuser avec des compagnons de paresse, et il faisait toujours le mal partout où il allait. Sa mauvaise conduite était un perpétuel sujet de douleur pour son père, et le pauvre vieux Roi en fut devenu fou, n'eût été la bonté de son neveu, le prince Florizel, qui l'aidait de son mieux et lui était, en vérité, une grande consolation. Ce jeune Prince était aussi beau que son cousin était laid ; il était aimable, intelligent, plein de vaillance et de noblesse. Il assistait aux conseils et prêtait au vieux Roi toute l'assistance qu'il pouvait ; plus d'une fois, grâce à ses sages avis, on put se tirer d'ennuis causés par la conduite déréglée du prince Ragio. Le peuple aimait le prince Florizel, et l'aurait bien voulu pour Roi ; mais, pendant longtemps, il garda ce voeu secret, tant il craignait que le méchant Prince ne tuât son favori…
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