Accueil

Accueil

Il y a 3 produits.

Affichage 1-3 de 3 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Joël Audrenn
  • Auteurs: Lili S. Junod
  • Auteurs: Sarah Holland

N° 148 - Rêve égyptien (Sarah Holland)

2,54 €
Lorelei ferma les yeux. La lumière, au Caire devait être dorée, pour saluer la fin du jour. Il faisait chaud, avait-il dit. Elle lui manquait… Steve devait paresser sur une terrasse blanche écrasée par le soleil, et contempler les felouques qui remontaient le grand et mystérieux Nil. Mais quand le reverrait-elle ?

La sadane de minuit (Joël Audrenn) - Collection 4 couleurs N° 63

2,54 €
Qu'est-ce qui fait donc courir tant de gens derrière Claudie, la petite hôtesse d'accueil de l'Egico, dès qu'elle part en vacances et quitte Paris ? Que Sandro cherche à la rejoindre — Sandro, le jeune dessinateur de l'Egico qui l'adore en secret — on le comprend. Que Fred, un collègue et le play-boy de l'Egico, soit dépêché par le patron pour rattraper Claudie et la conduire chez sa femme dans leur propriété du Roussillon, c'est surprenant. Qu'un troisième larron — un inconnu — mette ses pas dans ceux des jeunes gens, voilà qui devient inquiétant. Lorsque s'engage une extravagante poursuite, Claudie croit rêver. Les événements se précipitent à une telle allure ! ... Un somptueux domaine. Des invités qui s'amusent. D'autres qui se mentent. Un grand amour qui s'affirme dans l'ombre. Et puis une menace qui se précise pour Claudie. Elle a peur... Au rendez-vous de la sardane que l'on danse à minuit, sur la place du village, d'imprévisibles partenaires l'attendent.

N° 1631 - La cavalière de minuit (Lili S. Junod)

3,74 €
Extrait : Juste Delrode vida sa pipe d'un geste familier en la toquant à petits coups secs contre le mur de l'âtre où rougeoyaient les derniers tisons. Son visage boucané par les intempéries, la vie en plein air, les épreuves des dernières années de guerre, reflétait une expression maussade, accentuant la dureté du regard enfoncé et des lèvres minces qui jamais ne souriaient. Sa femme, la Maria, effacée, humble, toujours craintive devant ce maître redouté qui, jadis, l'avait choisie pour sa beauté, alors qu'elle n'était qu'une pauvre orpheline élevée par les soeurs, épiait en tremblant les signes de contrariété silencieuse qu'elle voyait figer les traits de Juste. Sa bonne figure douce gardait malgré le temps et l'âge une finesse exquise, le même bleu pur des yeux, un bleu de vitrail au soleil, étonnamment clair. Soudain tonna la voix de son homme : — Dis donc, la Maria ! Sais-tu ben qu'not'fille a fait tant d'progrès qu'la maîtresse d'école voudrait qu'al aille finir d'étudier dans eun'ville de par ici ? Ça m'plaît point, j'te l'dis tout franc…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire