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  • Auteurs: Félix Léonnec
  • Auteurs: Jo Hoestlandt
  • Auteurs: Michel Nour

Tu peux toujours courir ! (Jo Hoestlandt) - Nathan Poche N° 29

2,56 €
Johnny, son truc, c'est de courir, pour le reste… il est lent, rêveur, il bégaie. Et puis un jour, sur le trajet de l'école, il tombe sur une météorite, Daphné, une fille rapide comme l'éclair. Tellement rapide qu'elle n'a plus besoin d'aller en classe. Mais qui sait ce qu'ils peuvent apprendre l'un de l'autre ? Pour les 10-12 ans.

Le journal de Miss Pétoche (Jo Hoestlandt) - J'aime Lire N° 243

4,48 €
Cher journal, Il faut que je te parle d'un truc qui me gâche la vie : souvent, j'ai la frousse, les chocottes, j'ai les jetons et la pétoche... C'est à cause de toutes ces catastrophes qui nous menacent : la famine, la guerre, la pollution, la canicule, les avalanches, les feux de forêt, les virus… Quand j'en ai parlé à Florian, le garçon qui passe ses vacances à côté de chez nous, il a rigolé. Évidemment, lui, il n'a jamais peur de rien… Dès 9 ans.

N° 505 - Je t'adore ! (Michel Nour)

2,92 €
Extrait : Devant la porte du dancing, les deux jeunes gens s'arrêtèrent et Maurice Féraud tendit la main à son ami Raymond Landier. — Tu n'entres pas un instant avec moi ? demanda celui-ci. Voyons, pour une fois, laisse-toi tenter ! Maurice secoua la tête. — Je ne suis nullement tenté, je t'assure. — Tu détestes la danse ! — Je ne la déteste pas, mais je n'éprouve pas comme toi un plaisir de se trémousser comme tu dis, protesta vivement Raymond, il y a aussi celui de tenir dans ses bras une jolie créature qu'emporte l'ivresse du  rythme et qu'on sent contre soi, frémissante, palpitante, offerte comme une fleur qui vous grise de sa beauté et de son parfum…

N° 1150 - Pauvre petite femme (Félix Léonnec)

2,92 €
Extrait : — Allons, mon bon Benoît, il faut nous séparer ; depuis hier soir, déjà, vous n'êtes plus à mon service mais à ceux du duc de Veristein ; ce tour que nous venons de faire ensemble était le dernier fait par moi sur ce domaine depuis si longtemps à mes ancêtres. J'aime mieux le voir vendu à un grand seigneur que de le voir péricliter faute d'argent pour le faire valoir. — Est-il possible, monsieur le comte, que des choses pareilles puissent arriver. J'ai été au service de Monsieur votre père et à ce moment on disait couramment que les comtes de Villerbois étaient quasiment aussi riches que des rois. — Que des rois pauvres, mon brave Benoît, certainement nous avions de quoi faire valoir tout le pays, mais les temps ont changé, la vie a des exigences qui n'existaient pas autrefois…
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