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  • Auteurs: Anne Claire
  • Auteurs: Joanna Wayne
La crainte dans ton regard / Le danger en partage - Harlequin Black Rose N° 519
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N° 519 - La crainte dans ton regard (Joanna Wayne) - Le danger en partage (Melinda Di Lorenzo)

4,75 €
La crainte dans ton regard (Joanna Wayne) Série Le secret des Kavanaugh - Tome 4/4 Quand un terrible secret menace une famille… Le cœur étreint par un sentiment inconnu, Luke serre la main que lui tend Rachel, la jeune avocate venue passer quelques jours au ranch des Kavanaugh. Jamais il ne s’est senti aussi désarmé en face d’une femme, et celle-ci, qui prétend n’être là que pour rendre visite à sa sœur, l’émeut au plus haut point. Car, outre sa beauté et sa fragilité, c’est ce qu’il lit dans ses yeux immenses qui le trouble. Une peur qu’elle dissimule sous des allures de citadine sûre d’elle. Une expression d’animal traqué qui lui donne envie, à lui le cow-boy farouche et solitaire, de la protéger… Le danger en partage (Melinda Di Lorenzo) Quinze ans ! C’est l’âge qu’avait Brayden lorsque son père a été tué dans un attentat contre le commissariat de la ville. Un crime impuni que Brayden, devenu policier à son tour, est bien décidé à élucider… Mais, alors qu’il enquête sous couverture, une femme se jette sous ses roues et implore sa protection. Bientôt il apprend qu’elle s’appelle Reggie et qu’elle est pourchassée pour avoir assisté malgré elle à un meurtre. Recoupant son témoignage avec ses propres indices, il comprend que les hommes qui la menacent sont ceux qu’il traque. Et, malgré le danger qui les cerne de toutes parts, il décide d’entraîner Reggie avec lui dans sa quête de vérité…

N° 1656 - Je vous aime ! (Anne Claire)

3,74 €
Extrait : Eric Sauvage marchait lentement dans le petit square ombragé de vieux marronniers qui commençaient à se couvrir du brouillard vert des nouvelles feuilles. Il poussa du pied, à plusieurs reprises, un caillou rond comme du temps où il était petit garçon. Il se souvint soudain des gronderies de sa mère « Eric, Eric, je t'en supplie, tu m'uses toujours ton soulier droit deux fois plus vite que le gauche à cause de tes maudits cailloux !… Ne peux-tu voir à terre une pierre ou une vieille boîte sans la transformer en ballon de football, Eric ?… » Il sourit en lui-même à la chère image qui commençait à s'estomper. Ce rappel de sa mère lui réchauffa le coeur et lui rendit du courage. L'horloge du lycée sonna les trois quarts d'une heure. Des gamins passèrent près du jeune homme en se bousculant et en criant. Ils jetèrent leur cartable sur un banc et sortirent de leur poche un sac de billes. — Un quart d'heure encore avant le bahut, les vieux, on a le temps d'en faire une, cria le plus grand d'une voix éraillée de gamin qui s'égosille tout le jour…

N° 1647 - Une femme survint (Anne Claire)

3,05 €
Extrait : — Il me semble que j'entends battre la porte des chevaux. Crois-tu que Firmin l'ait fermée avant de monter se coucher ? — Je ne sais pas. Il n'oublie jamais, en général, mais il se peut que le vent l'ait rouverte. On dirait que tous les diables de l'enfer sont déchaînés ce soir. Tiens, les chevaux doivent sentir l'orage. Entends-tu la Blanche qui hennit. — Je crois que nous ferions bien d'aller voir et de vérifier si le poulailler est bien fermé, également. La nuit sera terrible. Depuis des années je n'ai vu un temps pareil ! Jean Michel se leva pesamment du fauteuil où il fumait sa pipe et se dirigea vers la porte. Son frère Robert se leva pour le suivre. Ils avaient tellement l'habitude de vivre ensemble, les deux « ours des Ronciers », comme on les appelait, que leurs mouvements avaient un synchronisme parfait. Jean ouvrit la porte qui donnait sur la terrasse et, tête baissé, résista en maugréant contre le vent…

N° 1692 - Douloureux problème (Anne Claire)

3,05 €
Extrait  : — Florence, appela une voix basse et impérieuse du fond de l'appartement, Florence où es-tu ? Une jeune femme mince et blonde qui se tenait devant la fenêtre et regardait les filles et les garçons en toilettes claires passer dans la rue, tressaillit comme si une main s'était posée sur son épaule. Elle repoussa brusquement les battants de la fenêtre. Il semblait qu'on venait de la surprendre en faute. — Je viens Régis, cria-t-elle. En traversant la pièce, elle s'arrêta devant un grand vase d'où jaillissaient des branches de lilas blanc et enfouit son visage dans les grappes fraîches et odorantes. Elle les respira avidement comme un prisonnier aspire l'air de la liberté. Du fond de l'appartement, la voix appela de nouveau : — Florence, j'ai besoin de toi, viens. La jeune femme se dirigea rapidement vers la chambre d'où venait l'appel. Dans un lit, face à lêa fentre, gisait un homme si ravagé par la souffrance et la maladie qu'il était difficile de lui donner un âge. Son visage était couleur de cire, ses yeux brillant de fièvre, s'enfonçaient profondément dans les orbites. Il respirait rapidement, avec peine…
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