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  • Auteurs: Jean Glachant
  • Auteurs: Joanna Wayne
La crainte dans ton regard / Le danger en partage - Harlequin Black Rose N° 519
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N° 519 - La crainte dans ton regard (Joanna Wayne) - Le danger en partage (Melinda Di Lorenzo)

4,75 €
La crainte dans ton regard (Joanna Wayne) Série Le secret des Kavanaugh - Tome 4/4 Quand un terrible secret menace une famille… Le cœur étreint par un sentiment inconnu, Luke serre la main que lui tend Rachel, la jeune avocate venue passer quelques jours au ranch des Kavanaugh. Jamais il ne s’est senti aussi désarmé en face d’une femme, et celle-ci, qui prétend n’être là que pour rendre visite à sa sœur, l’émeut au plus haut point. Car, outre sa beauté et sa fragilité, c’est ce qu’il lit dans ses yeux immenses qui le trouble. Une peur qu’elle dissimule sous des allures de citadine sûre d’elle. Une expression d’animal traqué qui lui donne envie, à lui le cow-boy farouche et solitaire, de la protéger… Le danger en partage (Melinda Di Lorenzo) Quinze ans ! C’est l’âge qu’avait Brayden lorsque son père a été tué dans un attentat contre le commissariat de la ville. Un crime impuni que Brayden, devenu policier à son tour, est bien décidé à élucider… Mais, alors qu’il enquête sous couverture, une femme se jette sous ses roues et implore sa protection. Bientôt il apprend qu’elle s’appelle Reggie et qu’elle est pourchassée pour avoir assisté malgré elle à un meurtre. Recoupant son témoignage avec ses propres indices, il comprend que les hommes qui la menacent sont ceux qu’il traque. Et, malgré le danger qui les cerne de toutes parts, il décide d’entraîner Reggie avec lui dans sa quête de vérité…

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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