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  • Auteurs: Joanna Wayne
  • Auteurs: Louis de La Hattais
  • Auteurs: Netty Delance
La crainte dans ton regard / Le danger en partage - Harlequin Black Rose N° 519
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N° 519 - La crainte dans ton regard (Joanna Wayne) - Le danger en partage (Melinda Di Lorenzo)

4,75 €
La crainte dans ton regard (Joanna Wayne) Série Le secret des Kavanaugh - Tome 4/4 Quand un terrible secret menace une famille… Le cœur étreint par un sentiment inconnu, Luke serre la main que lui tend Rachel, la jeune avocate venue passer quelques jours au ranch des Kavanaugh. Jamais il ne s’est senti aussi désarmé en face d’une femme, et celle-ci, qui prétend n’être là que pour rendre visite à sa sœur, l’émeut au plus haut point. Car, outre sa beauté et sa fragilité, c’est ce qu’il lit dans ses yeux immenses qui le trouble. Une peur qu’elle dissimule sous des allures de citadine sûre d’elle. Une expression d’animal traqué qui lui donne envie, à lui le cow-boy farouche et solitaire, de la protéger… Le danger en partage (Melinda Di Lorenzo) Quinze ans ! C’est l’âge qu’avait Brayden lorsque son père a été tué dans un attentat contre le commissariat de la ville. Un crime impuni que Brayden, devenu policier à son tour, est bien décidé à élucider… Mais, alors qu’il enquête sous couverture, une femme se jette sous ses roues et implore sa protection. Bientôt il apprend qu’elle s’appelle Reggie et qu’elle est pourchassée pour avoir assisté malgré elle à un meurtre. Recoupant son témoignage avec ses propres indices, il comprend que les hommes qui la menacent sont ceux qu’il traque. Et, malgré le danger qui les cerne de toutes parts, il décide d’entraîner Reggie avec lui dans sa quête de vérité…

N° 1558 - Vengeance posthume (Netty Delance)

3,05 €
Extrait : Antonio Tempico s'approcha de la fenêtre, se pencha sur le jardin, d'où montait le rire clair de Madalena. Madalena riait, Madalena était heureuse ! Il n'en fallait pas plus pour le remplir d'une profonde joie. Depuis dix ans, depuis la mort de sa femme, il ne vivait que pour sa fille, sans autre but que la combler, la choyer, lui faire une existence douce. Il travaillait, il gagnait de l'argent, beaucoup d'argent… pour elle. Et, s'il avait de l'ambition, c'était encore et uniquement pour elle. Il s'était promis que, lorsqu'elle aurait dix-huit ans, elle serait une des jeunes filles les plus richement dotées du pays. Il avait eu le courage, alors qu'elle n'était âgée que de huit ans, de s'en séparer, de la confier à une nourrice, et de s'enfoncer dans le fin fond du Mexique pour essayer d'y faire fortune. Plusieurs années durant, il avait mené la vie rude des prospecteurs de pétrole. La chance avait fini par lui sourire. Il se hâta de vendre le terrain pétrolifère qu'il avait découvert et vint s'installer dans une des régions tempérées — terras templados — du pays, sur les contreforts de la Sierra Madre , face au golfe de la Californie…

N° 1710 - Esclave du désir (Netty Delance)

3,74 €
Extrait : D'un même mouvement, tous les pensionnaires déjà attablés inclinèrent la tête avec un rapide coup d'oeil vers la porte. L'homme à qui s'adressait ce salut collectif — en réponse au sien — se désintéressa d'ailleurs immédiatement de l'assistance et gagna à grands pas la table qui lui était réservée. La pension de famille de Mlle Vertuchon comptait deux genres de clientèle : celle qui prenait ses repas à la table d'hôte et la clientèle plus restreinte mais privilégiée qu'on servait par petites tables. A vrai dire, les menus et les rations étaient les mêmes, et la très sensible différence de prix n'était pas justifiés par le blanchissage du linge — on servait sur des nappes de papier. C'était donc, tout simplement, une sorte de taxe supplémentaire imposée aux quelques individualistes qui préféraient la solitude ou l'intimité à la conversation générale, et leurs aises au coude-à-coude… Yvonne, la grosse servante dont les vingt ans opulents se passaient — à tort ! — de soutien-gorge, appelait ironiquement ces délicats les « serviettes » par opposition aux « torchons » qui constituaient le gros des pensionnaires…

N° 1629 - Fleur bleue ! (Louis de La Hattais)

3,05 €
Extrait : Paul Savignac alluma une cigarette et regarda s'éloigner la jeune femme, pensif. Elle attendait dans le salon de l'éditeur, quand il était entré. Il avait remarqué le visage délicat à l'ovale sans défaut, l'élégance toute simple de la silhouette, et aussi le regard un peu triste des grands yeux clairs… Il avait été reçu immédiatement quand il avait quitté le bureau, après avoir livré un de ses romans, il avait vu l'inconnue sortir de celui d'une secrétaire, un peu plus pâle, un peu plus triste, un manuscrit sous le bras, toute menue dans son manteau un peu étriqué… Un manuscrit refusé, bien sûr… — Mademoiselle ! Il l'avait rejointe sur le trottoir, et quand elle se retourna, surprise d'être ainsi hélée, il demeura coi, comme s'il venait de commettre quelque énormité. — Excusez-moi, mademoiselle… Je… j'ai cru que… Permettez-moi de me présenter : Jean Savignac… Elle hocha la tête, le toisa, un brin de dédain dans les yeux : — Ah, oui ! le fameux Savignac ? L'indéracinable auteur de la Maison Tirchet ! Une belle boîte, votre édition Tirchet, où l'on ne comprend rien à la littérature ! Vous pourrez le leur répéter…

N° 1672 - L'impossible vengeance (Netty Delance)

3,74 €
Extrait : — Je t'assure, dit Simone en riant, que nous sommes venues par là !... Claudine haussa les épaules sans cacher sa mauvaise humeur : — Avec toi, on a toujours des avatars de ce genre !... Il était si simple, trop simple, sans doute, de rester avec les autres, devant la terasse... Mais non, il a fallu aller visiter le parc !... La prochaine fois, je te laisserai aller seule. Au lieu de se fâcher, Simone pouffait. Elle était aussi « parigote » et fille des faubourgs, avec son petit nez en l'air et son accent, que Claudine était racée, distinguée, d'une dignité un peu hautaine d'ailleurs. Et leurs caractères étaient tels que le laissait deviner leur aspect respectif. Belle et dominatrice, Claudine avait, dès son entrée dans la maison Jean-Jacques Flath, subjugué sa camarade de travail dont le coeur sensible ne demandait qu'à se dévouer…
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