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  • Auteurs: Joanna Wayne
  • Auteurs: Marguerite Soleillant
La crainte dans ton regard / Le danger en partage - Harlequin Black Rose N° 519
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N° 519 - La crainte dans ton regard (Joanna Wayne) - Le danger en partage (Melinda Di Lorenzo)

4,75 €
La crainte dans ton regard (Joanna Wayne) Série Le secret des Kavanaugh - Tome 4/4 Quand un terrible secret menace une famille… Le cœur étreint par un sentiment inconnu, Luke serre la main que lui tend Rachel, la jeune avocate venue passer quelques jours au ranch des Kavanaugh. Jamais il ne s’est senti aussi désarmé en face d’une femme, et celle-ci, qui prétend n’être là que pour rendre visite à sa sœur, l’émeut au plus haut point. Car, outre sa beauté et sa fragilité, c’est ce qu’il lit dans ses yeux immenses qui le trouble. Une peur qu’elle dissimule sous des allures de citadine sûre d’elle. Une expression d’animal traqué qui lui donne envie, à lui le cow-boy farouche et solitaire, de la protéger… Le danger en partage (Melinda Di Lorenzo) Quinze ans ! C’est l’âge qu’avait Brayden lorsque son père a été tué dans un attentat contre le commissariat de la ville. Un crime impuni que Brayden, devenu policier à son tour, est bien décidé à élucider… Mais, alors qu’il enquête sous couverture, une femme se jette sous ses roues et implore sa protection. Bientôt il apprend qu’elle s’appelle Reggie et qu’elle est pourchassée pour avoir assisté malgré elle à un meurtre. Recoupant son témoignage avec ses propres indices, il comprend que les hommes qui la menacent sont ceux qu’il traque. Et, malgré le danger qui les cerne de toutes parts, il décide d’entraîner Reggie avec lui dans sa quête de vérité…

Corinne l'aventureuse (Marguerite Soleillant)

12,00 €
Extrait : Chapitre I : LA MAISON DES BRODEUSES Sous le feuillage d'un grand frêne, à l'écart du village, il y avait la maison des brodeuses. Elle était petite cette maison et basse sous son toit de tuiles brunes où des plaques de mousse posaient leur éclat d'or. A côté de la porte une large fenêtre brillait de tous ses carreaux, derrière un pot de géranium en fleurs. Dans le pignon, sur le rebord de l'autre fenêtre plus étroite, était posée une cage de chardonnerets. Les chardonnerets pépiaient dans leur prison ; le vent chantait aux branches du frêne. Le soleil marquait 5 heures au-dessus de la montagne. La porte s'ouvrit. Menue dans sa robe de bure bien froncée à la taille, un pli d'inquiétude au front, une vieille femme s'avança sur la marche du seuil. Elle abrita  ses yeux avec sa main pour fouiller du regard le chemin montant entre les murettes de pierre où couraient des lézards. « Je ne la vois pas revenir, dit-elle, rentrant dans la maison. — Il n'est pas encore tard, grand-mère, » répondit une fillette, assise devant un métier à broder, près de la fenêtre. « Il n'est pas tard, mais elle sait bien que nous avons du travail et qu'il faudrait t'aider, et que mes pauvres yeux ne voient plus pour enfiler des aiguilles. Ah! si je ne t'avais pas pour me consoler, Eléonore !… »
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