Extrait : Tout à fait à la fin du XVe siècle, il y avait en dehors de la porte Bucy, derrière les bâtiments de l'abbaye Saint-Germain-des-Près, deux logis qui se regardaient. L'un était le noble château de la Marche, qui allait devenir l'hôtel du même nom, l'autre était une modeste auberge tenue par Joseph Pavot, dont le principal titre était d'être l'époux légitime de la Pavot, femme célèbre…
Extrait : Jean le Blond, costumé en page de la reine de Saba avec la vérité de style que nous avons dite, se promenait, de long en large devant la principale entrée de la tente. Si quelqu'un avait remarqué notre beau jeune homme, alors qu'il était vêtu de sa casaque de gros drap et de son pauvre manteau, on doit penser que ce quelqu'un se serait étonné de le retrouver sous sa brillante livrée…
Il ne faut quand même pas pousser. On a beau être très belle, savoir user de ses charmes en toute situation, quand on arnaque Al Capone lui-même, on peut s'attendre à ce que l'atmosphère tourne à l'orage. Son nom, c'est la Cicca, mais tout le monde l'appelle Bang Bang. Un nom qui pousse au crime...
Abigail Calvin est une catin aussi désirable que détestable. Lorsqu'elle rentre dans la vie de Tom Sampas, boxeur et bûcheron à temps perdu, celui-ci est tellement attiré par la générosité de ses charmes qu'il ne se doute pas que la belle va l'entraîner dans la plus horrible des machinations… Le duo de choc de Torpedo se laisse aller à un « one shot » dangereusement libidineux, qui sent fort l'Amérique comme on l'aime.
La révolte couve en Bretagne où le pouvoir absolu du Régent Philippe d'Orléans pèse très lourdement. Alors, un farouche seigneur Breton, Nicolas Treml de la Tremlays, se dresse contre l'oppresseur et provoque en duel le Régent de France. Hélas ! ce geste désespéré laisse sous la tutelle du rapace Hervé de Vaunoy tous les biens de Nicolas, ainsi que la vie de son seul fils, le petit Georges…
Luca Torelli, alias Torpedo, règle toujours ses comptes. C'est une question de principe. En bon Sicilien des faubourgs New Yorkais, il paie ses dettes à coups de Colt 45 et rend la monnaie avec une batte de base-ball. Hommes, femmes ou enfants, personne ne trouve grâce à ses yeux.
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Luca Torelli, alias Torpedo, règle toujours ses comptes. C'est une question de principe. En bon Sicilien des faubourgs New Yorkais, il paie ses dettes à coups de Colt 45 et rend la monnaie avec une batte de base-ball. Hommes, femmes ou enfants, personne ne trouve grâce à ses yeux.
Luca Torelli alias Torpedo, et son homme de main Rascal, n'ont pas fini de monter des arnaques foireuses, ou de faire passer l'arme à gauche à tous ceux qui tenteraient de contrarier leurs projets. Dans ce douzième tome, composé de courts récits, on retrouve avec délectation certains épisodes de la jeunesse explosive de Torpedo. Son apprentissage de la vie et du cynisme sont comme à l'accoutumée un régal pour le lecteur. Plus cette série évolue, plus elle s'étoffe. Bien loin de s'épuiser, Bernet et Abuli trouvent sans relâche les astuces qui leur permettent de dynamiser leur plus belle création.