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  • Auteurs: Camille Arnold
  • Auteurs: Joseph-Louis Sanciaume
  • Auteurs: Louis Berry
Princesse d'un jour (Joseph-Louis Sanciaume) - Collection Mirabelle N° 41 - Editions des Remparts
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N° 41 - Princesse d'un jour (Joseph-Louis Sanciaume)

9,90 €
Florence quitta le chalet et s'aventura dans un sentier de montagne... Si le colonel Werden s'apercevait de son absence, quelle scène ! Soudain, elle entendit des pas, tira vite de son sac ses lunettes noires. Un garçon débouchait du sentier : jeune et brun, avec des épaules droites et larges... Il la salua, elle répondit. Ils lièrent connaissance. — Voulez-vous que je vous apprenne à passer la frontière de Sylvistrie au nez et à la barbe des douaniers ? Quelques minutes plus tard, ils foulaient le sol de la principauté... — Otez vos lunettes, demanda-t-il au retour. Elles vous enlaidissent tellement ! Elle hésita, s'exécuta. — Je m'en doutais, murmura-t-il. La photo épinglée au mur de ma chambre que les deux inconnus m'ont remise, c'est vous ! Il expliqua son histoire. On lui avait donné cette photo comme celle d'une femme redoutable, par qui les jours de la jeune princesse Stéphanie étaient menacés... une femme à signaler. — On vous a dit des choses abominables, murmura-t-elle. Il éclata de rire : — Je sais qu'ils ont menti... ... Ainsi commence la passionnante histoire de la petite Princesse d'un jour...

Virginie la chauve-souris (Louis Berry) - Le livre de poche N° 6307

2,15 €
Chaque hiver, notre colonie de chauves-souris s'installe dans une caverne bien sèche. Chaque été, nous regagnons le grenier frais et aéré du château du Val-de-Gallie : c'est là que nos petits viennent au monde. Alors, le jour où la duchesse a décidé de murer l'entrée de son grenier, nous nous sommes demandé ce que nous allions devenir. Le dossier vous révélera comment nous nous déplaçons dans l'obscurité grâce à un système perfectionné qui nous permet à la fois d'éviter les obstacles et de repérer nos proies. Vous apprendrez aussi que, contrairement à bien des croyances, nous sommes parfaitement inoffensives et qu'il faut nous protéger. Grâce aux pages de jeux, vous testerez enfin vos connaissances nouvelles en vous amusant. Signé : Virginie la chauve-souris PS  : Le moindre de mes propos a été approuvé par le Muséum National d'Histoire Naturelle. A partir de 8 ans

N° 44 - La route dangereuse (Joseph-Louis Sanciaume)

12,00 €
A la pension Gaspardi, de Nice, Danielle attend, impatiente, cet engagement d'un impresario qui lui permettra enfin de faire valoir ses grands talents de musicienne. Enrico, le charmant camarade, qui est d'ailleurs amoureux d'elle, attend lui aussi. Mais voici que miss Brown, une autre pensionnaire, appelle à son chevet de mourante la douce Danielle. Elle lui confie deux enveloppes : l'une contient 25 billets de 10.000 francs (ils sont pour elle), l'autre un paquet de lettres qu'elle a mission de faire tenir au mystérieux M. Framon. Enrico, hélas ! s'emparera des lettres… Et Danielle ne pourra exécuter son serment. Rongée d'inquiétude, elle quitte Nice subrepticement et regagne Paris, pour échapper à ce fol amoureux. Un soir, au soir du concert où elle tient le piano, un automobiliste inconnu tente de l'enlever. Un jeune homme qui passait et l'agresseur en fuite. Et ce miraculeux sauveteur va devenir le chevalier servant de Danielle. Mais un jour, Danielle apprendra le vrai nom de Paul Brière. Et qu'il est lié, lui aussi, à cette dramatique histoire de lettres. Enrico est revenu… Mais Paul aussi reviendra. Et dans ce train d'Angers, qui semblait emporter Danielle vers l'oubli, surgira soudain la chère silhouette…

N° 1676 - La clause secrète (Camille Arnold)

2,92 €
Extrait : Jacqueline repoussa lentement le tiroir du classeur dont le carton vert était déchiré, après y avoir rangé la traite des établissements Phalippou et Fils… Elle était lasse. Non pas lasse de trop travailler — son emploi de dactylo-facturière chez Fradet , « couverture, plomberie, sanitaire », n'était pas harassant ! — mais, au contraire, de faire un travail monotone et ennuyeux auquel elle ne parvenait pas à s'intéresser. Tandis qu'elle cherchait dans une boîte déglinguée un morceau de sparadrap pour arranger tant bien que mal le tiroir défaillant, elle regardait du coin de l'oeil, avec une sorte d'envie, le comptable, M. Plumet…

N° 1704 - Au bord de l'abîme (Camille Arnold)

3,74 €
Extrait : Gustave Herbelot reposa le vase de Sèvres dont, machinalement, il avait regardé la marque. On aurait dit qu'il faisait, sans y songer, l'inventaire de ce qu'avait laissé, en mourant, Suzanne Teyssière. De tous les bibelots qui ornaient ce salon, le plus ravissant était sans conteste Odile devant qui Gustave vint se planter, les mains aux poches : — Alors, petite ? Nous sommes d'accord ? La jeune fille leva vers lui un regard craintif : — Il le faut bien, tonton. Elle n'était pas sa nièce, mais celle de sa femme, Fernande, qui était morte deux ans plus tôt. Décidément, on ne vivait pas vieux, chez les Guitton : les deux soeurs, Fernande et Suzanne, avaient été orphelines de bonne heure. Puis Fernande était morte à trente-huit ans et voici que Suzanne venait à son tour d'être emportée en quelques jours par une angine de poitrine. Il restait à Gustave, en tout de sa belle famille, cette nièce de dix-sept ans dont il avait été désigné le tuteur…

N° 1567 - L'inutile sacrifice (Camille Arnold)

3,05 €
Extrait : Chaque fois que Madeleine entend l'ascenseur se mettre en marche les aiguilles de son tricot s'immobilisent et elle suspend presque son souffle pour tendre l'oreille. Est-ce lui, cette fois ? Non, l'arrêt se fait à un autre étage... et elle en est, à la fois, déçue et contente : déçue, parce qu'elle languit que Claude soit rentrée... et contente, parce qu'elle pourra faire encore quelques « rangs » de plus à son pull-over. Comment sera-t-il ce soir ? Ne sera-t-il pas trop fatigué par le métro et ses bousculades aux heures de « pointe », ses innombrables escaliers de correspondance ? Ne sera-t-il pas trop énervé par les leçons données à des aspirantes-pianistes qui n'ont pas la moindre disposition pour la musique mais qui, avant de savoir faire une gamme, sont impatientes de pouvoir jouer Tristesse de Chopin à leur première réception ? Ne sera-t-il pas trop démoralisé par une entrevue avec quelque directeur de théâtre ou quelque éditeur qui, après lui avoir prodigué de grandes louanges pour ses oeuvres, se sera répandu en soupirs pour se plaindre de la crise, des frais chaque jour plus lourds qui l'obligent à « ne miser que sur des noms connus du public »…
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