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  • Auteurs: Joseph-Louis Sanciaume
  • Auteurs: Pierre Peter
Princesse d'un jour (Joseph-Louis Sanciaume) - Collection Mirabelle N° 41 - Editions des Remparts
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N° 41 - Princesse d'un jour (Joseph-Louis Sanciaume)

9,90 €
Florence quitta le chalet et s'aventura dans un sentier de montagne... Si le colonel Werden s'apercevait de son absence, quelle scène ! Soudain, elle entendit des pas, tira vite de son sac ses lunettes noires. Un garçon débouchait du sentier : jeune et brun, avec des épaules droites et larges... Il la salua, elle répondit. Ils lièrent connaissance. — Voulez-vous que je vous apprenne à passer la frontière de Sylvistrie au nez et à la barbe des douaniers ? Quelques minutes plus tard, ils foulaient le sol de la principauté... — Otez vos lunettes, demanda-t-il au retour. Elles vous enlaidissent tellement ! Elle hésita, s'exécuta. — Je m'en doutais, murmura-t-il. La photo épinglée au mur de ma chambre que les deux inconnus m'ont remise, c'est vous ! Il expliqua son histoire. On lui avait donné cette photo comme celle d'une femme redoutable, par qui les jours de la jeune princesse Stéphanie étaient menacés... une femme à signaler. — On vous a dit des choses abominables, murmura-t-elle. Il éclata de rire : — Je sais qu'ils ont menti... ... Ainsi commence la passionnante histoire de la petite Princesse d'un jour...
Le mirage de l'amour (Pierre Peter) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1889
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N° 1889 - Le mirage de l'amour (Pierre Peter)

4,50 €
Extrait : Lorsque j'arrivai à mon bureau avec, comme d'habitude, un petit quart d'heure de retard — un tout petit quart d'heure fort heureusement — tout le personnel était en ébullition. J'en fus fort aise et en profitai pour me faufiler discrètement jusqu'au vestiaire afin de me changer, puis, l'opération terminée en un temps record, je vins prendre ma place derrière ma machine, c'est alors que je me rendis compte que quelque chose d'anormal devait se dérouler. Faisant signe du coin de l'oeil à Guitte, l'ariette, je lui soufflai : — Qu'est-ce qui se passe, Poison ? Ils ont tous des têtes. Guitte me considéra d'un air étonné, puis un mauvais sourire apparut sur ses petites lèvres minces. …Tout le monde sait que nous ne nous aimons pas, Guitte et moi, d'abord parce qu'elle ressemble toujours à une souillon et que j'adore la propreté, ensuite parce qu'elle est sournoise et cafarde, or, je me fais une joie et un honneur de proclamer partout que ce qui compte le plus à mes yeux est la franchise, la loyauté, et à chaque fois je prends Julien pour exemple…

N° 44 - La route dangereuse (Joseph-Louis Sanciaume)

12,00 €
A la pension Gaspardi, de Nice, Danielle attend, impatiente, cet engagement d'un impresario qui lui permettra enfin de faire valoir ses grands talents de musicienne. Enrico, le charmant camarade, qui est d'ailleurs amoureux d'elle, attend lui aussi. Mais voici que miss Brown, une autre pensionnaire, appelle à son chevet de mourante la douce Danielle. Elle lui confie deux enveloppes : l'une contient 25 billets de 10.000 francs (ils sont pour elle), l'autre un paquet de lettres qu'elle a mission de faire tenir au mystérieux M. Framon. Enrico, hélas ! s'emparera des lettres… Et Danielle ne pourra exécuter son serment. Rongée d'inquiétude, elle quitte Nice subrepticement et regagne Paris, pour échapper à ce fol amoureux. Un soir, au soir du concert où elle tient le piano, un automobiliste inconnu tente de l'enlever. Un jeune homme qui passait et l'agresseur en fuite. Et ce miraculeux sauveteur va devenir le chevalier servant de Danielle. Mais un jour, Danielle apprendra le vrai nom de Paul Brière. Et qu'il est lié, lui aussi, à cette dramatique histoire de lettres. Enrico est revenu… Mais Paul aussi reviendra. Et dans ce train d'Angers, qui semblait emporter Danielle vers l'oubli, surgira soudain la chère silhouette…

N° 1942 - La peur du bonheur (Pierre Peter)

4,50 €
Extrait : — Résection… Automatiquement, je posai la pince dans le gant de caoutchouc qui se tendait. Lorsqu'elle fut en place, Jean-Loup aboya presque en tendant de nouveau sa main gauche ; — Cautère !… J'obéis aussi docilement et l'instrument porté au rouge se mit à fouiller dans l'ouverture qui balafrait le haut du ventre du patient, stérilisant du même coup les lèvres de la plaie qu'il venait de pratiquer dans l'intestin. Tendu de tous ses nerfs, Jean-Loup transpirait à grosses gouttes. Je l'essuyai aussitôt délicatement. Il ne me remercia même pas, mais je sentis tout de même qu'il m'en était profondément reconnaissant. Question d'intuition sûrement. Dès qu'il eut terminé cette partie de son travail, je lui tendis machinalement une suture spéciale, sans chas. L'éclair de satisfaction qui passa dans ses yeux me récompensa largement de toutes mes précédentes initiatives…
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