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  • Auteurs: Jean Delhat
  • Auteurs: Joyce Rockwood
  • Auteurs: Marcelle de Morthone
Une jument extraordinaire (Joyce Rockwood) - Castor Poche N° 6 - Flammarion

Une jument extraordinaire (Joyce Rockwood) - Castor Poche N° 6

2,56 €
« Ma jument est extraordinaire » répète Écureuil, le jeune indien Cherokee. Mais, dans le village, tous se moquent de sa jument. Aussi quand elle est volée par des indiens Creeks, les guerriers refusent-ils d'aller la récupérer. « Puisque c'est comme ça, jirai seul et je la ramènerai. » Dès 9/10 ans.
C'est ça l'amour ! (Jean Delhat) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1577

N° 1577 - C'est ça l'amour ! (Jean Delhat)

2,90 €
Extrait : Maud Géniat secoua, rêveuse, la cendre de sa Chesterfield, et renversée dans son fauteuil, se laissa bercer par la tendre mélodie que sa jeune soeur Anne-Marie venait de faire éclore dans le silence du studio, en tournant simplement le bouton laqué blanc du poste de radio. Anne-Marie chantonnait en esquissant un pas de valse. Maud la vit s'arrêter devant la cheminée…
Une jument extraordinaire (Joyce Rockwood) - Castor Poche N° 6 - Flammarion

Une jument extraordinaire (Joyce Rockwood) - Castor Poche N° 6

2,15 €
« Ma jument est extraordinaire », répète Écureuil, le jeune indien Cherokee. Mais dans le village, tous se moquent de sa jument. Aussi quand elle est volée par des indiens Creeks, les guerriers refusent-ils d'aller la récupérer. « Puisque c'est comme ça, j'irai seul et je la ramènerai. » Dès 9/10 ans.
Le triomphe de la jeunesse (Marcelle de Morthone) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1162

N° 1162 - Le triomphe de la jeunesse (Marcelle de Morthone)

3,05 €
Extrait : Dans le silence du vaste bureau, la sonnerie grêle du Morse retentit tout à coup. Une adolescente, tapie dans l'angle de la fenêtre, sombre silhouette disparaissant presque derrière un journal déplié, se redressa. — Ne vous dérangez pas, mademoiselle Cardonne… Je suis debout… dit une voix. L'interpellée se laissa retomber sur la chaise basse et replia le journal d'un geste nerveux, en levant sur son interlocutrice de grands yeux que la pupille d'un noir de jais remplissait presque. Le visage, d'un ovale parfait avait naturellement cette couleur mate obtenue par les élégantes grâce au concours savant des parfumeurs à la mode et la bouche un peu grande, mais au pur dessin, était du rouge foncé des cerises bien mûres. L'expression enfantine de cette bouche contrastait singulièrement avec le regard, un peu regard de femme qui semblait voir loin dans les âmes…
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