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  • Auteurs: Judy Duarte
  • Auteurs: Marguerite Soleillant
Une si douce torture / Un pas vers le bonheur - Harlequin Passions N° 678
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N° 678 - Une si douce torture (Kat Cantrell) - Un pas vers le bonheur (Judy Duarte)

4,75 €
Une si douce torture (Kat Cantrell) Affaires ou séduction ? Volet 4/4 Belles, fortes et indépendantes, elles refusent de choisir entre carrière et amour…  Pour sauver son entreprise de cosmétiques, au bord de la faillite, Trinity est prête à tout. Même à se faire passer pour la fiancée du célèbre joueur de hockey Logan McLaughlin. Bien qu’il soit son pire ennemi, sa notoriété ne peut que lui faire de la publicité… Hélas, à l’instant où Logan lui vole un baiser – suave, sensuel et passionné –, Trinity est totalement perdue. Désormais, chaque instant passé à ses côtés devient une torture des plus douloureuses, pour elle qui n’a plus vraiment l’impression de faire semblant… Un pas vers le bonheur (Judy Duarte) Braden ne décolère pas. Embaucher Elena Ramirez était bien la pire idée qu’il ait jamais eue ! Car chaque jour passé avec elle lui renvoie l’image d’un foyer idéal : belle, douce et attentionnée, Elena s’occupe de surcroît à merveille des petites nièces dont il a la garde depuis la disparition de sa sœur bien-aimée. Seulement voilà, il doit se concentrer sur son nouveau rôle de père, sans se laisser distraire. Aussi n’a-t-il plus le choix : il va chercher une remplaçante à Elena au plus vite…

Corinne l'aventureuse (Marguerite Soleillant)

12,00 €
Extrait : Chapitre I : LA MAISON DES BRODEUSES Sous le feuillage d'un grand frêne, à l'écart du village, il y avait la maison des brodeuses. Elle était petite cette maison et basse sous son toit de tuiles brunes où des plaques de mousse posaient leur éclat d'or. A côté de la porte une large fenêtre brillait de tous ses carreaux, derrière un pot de géranium en fleurs. Dans le pignon, sur le rebord de l'autre fenêtre plus étroite, était posée une cage de chardonnerets. Les chardonnerets pépiaient dans leur prison ; le vent chantait aux branches du frêne. Le soleil marquait 5 heures au-dessus de la montagne. La porte s'ouvrit. Menue dans sa robe de bure bien froncée à la taille, un pli d'inquiétude au front, une vieille femme s'avança sur la marche du seuil. Elle abrita  ses yeux avec sa main pour fouiller du regard le chemin montant entre les murettes de pierre où couraient des lézards. « Je ne la vois pas revenir, dit-elle, rentrant dans la maison. — Il n'est pas encore tard, grand-mère, » répondit une fillette, assise devant un métier à broder, près de la fenêtre. « Il n'est pas tard, mais elle sait bien que nous avons du travail et qu'il faudrait t'aider, et que mes pauvres yeux ne voient plus pour enfiler des aiguilles. Ah! si je ne t'avais pas pour me consoler, Eléonore !… »
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