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  • Auteurs: A. Fougereuse
  • Auteurs: Julia London
  • Auteurs: Marcelle de Morthone

Les mariés écossais T2 : Le prétendant des Highlands (Julia London)

3,90 €
À la mort de son époux, Daisy préfère fuir l’Angleterre et son cortège de prétendants uniquement intéressés par sa fortune. Si elle ne veut pas que son jeune fils perde son héritage, elle devra se remarier dans l’année. Mais, à présent qu’elle peut choisir, elle compte bien trouver un fiancé à son goût. Un fiancé comme Robert, son ancien amour, qui a promis de la rejoindre dès qu’il a appris sa situation. Mais un homme instille le doute en elle : l’intransigeant seigneur MacKenzie. Un Écossais solitaire qui conteste sans détour la sincérité de ses prétendants. Et plus Daisy proteste, plus il semble déterminé à lui ouvrir les yeux… 

N° 871 - Après les caresses (A. Fougereuse)

3,05 €
Extrait : Robert de Jailly, mélancoliquement, longeait la falaise. A gauche, c'était la lande aride coupée de roches grises qui émergeaient au milieu des genêts. A droite, la mer houleuse et glauque, avec son chant éternel et triste. Robert était venu là, en ce coin perdu pour oublier, pour trouver l'apaisement à une douleur récente. La comtesse de Jailly, sa seule affection en ce monde, était morte deux mois plus tôt, le laissant désemparé. A sa vie, un but manquait désormais : il aurait aimé se dévouer, faire du bien autour de lui et ne savait comment s'y prendre…

N° 1162 - Le triomphe de la jeunesse (Marcelle de Morthone)

3,05 €
Extrait : Dans le silence du vaste bureau, la sonnerie grêle du Morse retentit tout à coup. Une adolescente, tapie dans l'angle de la fenêtre, sombre silhouette disparaissant presque derrière un journal déplié, se redressa. — Ne vous dérangez pas, mademoiselle Cardonne… Je suis debout… dit une voix. L'interpellée se laissa retomber sur la chaise basse et replia le journal d'un geste nerveux, en levant sur son interlocutrice de grands yeux que la pupille d'un noir de jais remplissait presque. Le visage, d'un ovale parfait avait naturellement cette couleur mate obtenue par les élégantes grâce au concours savant des parfumeurs à la mode et la bouche un peu grande, mais au pur dessin, était du rouge foncé des cerises bien mûres. L'expression enfantine de cette bouche contrastait singulièrement avec le regard, un peu regard de femme qui semblait voir loin dans les âmes…
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