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  • Auteurs: Karen Harper
  • Auteurs: René-Paul Noël

N° 1644 - On peut rêver d'amour (René-Paul Noël)

4,92 €
Extrait : Quelqu'un dit : — C'est scandaleux !  Mais on ne l'écoutait pas. Sur le quai de la gare, un employé s'avançait et la foule des voyageurs bloqués à Saint-Sulpice se porta à sa rencontre dans un mouvement impétueux. Le cheminot ouvrit les bras d'un air désappointé : — Je vous en prie… On vient de me téléphoner : les dépôts sont en grève, aucune machine ne peut sortir. …

N° 1654 - Rendez-moi mon enfant (René-Paul Noël)

6,00 €
Extrait : Myrtille Lacaule s'était adossé à la cheminée et, le visage crispé, elle suivait le manège de Deschamps présentant Simone à ses amis. Mais quoi que fasse Myrtille, son regard revenait se poser sur sa rivale ! Ainsi c'était là la jeune fille qui lui avait ravi l'amour de Pierre. Avec la sévérité d'une femme jalouse, elle la jugeait insignifiante et fade…

N° 1715 - Fille du Canada (René-Paul Noël)

4,50 €
Extrait : Les chevaux étaient rassemblés dans un vaste enclos de perches, près d'un village dont on apercevait les fumées par-dessus le petit rideau de trembles. La journée était précieuse comme une opale. Des paysans endimanchés, Canadiens français ou Irlandais, se pressaient sur la place du marché. Des gosses criaient, des chiens aboyaient et le crincrin d'un violon rythmant une clogg-dance mettait sur le tout une joyeuse atmosphère de Kermesse. Jean Leclerc avait pris le bras de Pierre Daix, son vieux copain retrouvé. La bière et le Whisky aidant, les jeunes gens, entre deux éclats de rire, cédaient à l'attendrissement et évoquaient leur jeunesse — pas si lointaine ! — avec des : « Te souviens-tu… » qui introduisaient, dans leur conversation, un peu de la mélancolie des choses fanées. La foule s'ouvrait sur leur passage. Ce qui attirait surtout l'attention sur le couple, c'était le vêtement de Jean Leclerc, anachronique comme un gibus à la vitrine d'un chapelier. Les gosses, bouche bée, lui faisaient une escorte discrète, les jeunes  filles le regardaient avec une inlassable curiosité…

Testament mortel (Karen Harper)

4,05 €
— Sarah, vous êtes là ? Vous allez bien ?  Pas de réponse. Lentement, Kate poussa la porte et actionna l'interrupteur d'une main tremblante. Devant elle, près de la commode, Sarah était étendue sur le ventre, sa tête blanche auréolée de sang écarlate... Employée et amie de la très riche Sarah Denbigh, Kate Marburn est sous le choc à la mort de celle-ci. D'abord parce que cet « accident », survenu dans des conditions inexpliquées, éveille les soupçons de la police à son égard. Ensuite parce que la jeune femme découvre avec stupeur que Sarah lui a légué une vaste fortune mobilière - provoquant ainsi la fureur des héritiers légitimes. Eprouvée par les menaces de procès de ces derniers, Kate part s'installer à Shaker Run, un village où se trouve une partie des biens dont elle a hérité. Mais alors qu'elle croit pouvoir commencer là une nouvelle vie, elle manque être renversée à deux reprises par une mystérieuse Packard noire. Puis ce sont les enfants de Sarah qui sont mortellement blessés par le même véhicule. Pour Kate, une évidence s'impose alors : son héritage recèle un secret que l'auteur de ces crimes, quel qu'il soit, tient à préserver à tout prix...

N° 225 - Eaux mortelles (Karen Harper)

2,95 €
Sous le regard incrédule de Claire, les hommes de l’équipe de secours sortirent le corps de Keith de la rivière. Le courant avait dû emporter son pull et ses chaussures, car il avait le torse et les pieds nus. Puis le corps disparut dans un sac en plastique noir… Tout avait si bien commencé, pourtant. Claire Malvern et son mari Keith avaient cru réaliser leur rêve de citadins en mal de campagne en allant s’installer dans un coin retiré de l’Etat de Washington pour y ouvrir un gîte de pêche. Le rêve s’était brisé, le jour où le corps de Keith avait été retrouvé sans vie. Pour tout le monde, à commencer par le shérif Nick Braden, il n’y a pas mille façons d’expliquer le drame : Keith s’est suicidé. Pour Claire, qui connaît son mari mieux que quiconque, c’est absurde. Et les faits troublants qui se succèdent vont lui donner raison. Car à mesure qu’elle avance sur le chemin de la vérité, sa vie paraît ne plus tenir qu’à un fil, un fil qui la conduit à son tour à la rivière mortelle…

N° 137 - La boîte de Pandore (Karen Harper)

3,50 €
Au coeur d'une petite communauté rurale, un secret est enterré, que personne ne songe à exhumer. Jusqu'au jour où une jeune femme ouvre la boîte de Pandore... La mort tragique de son mari a laissé Rachel Mast à la tête d'une famille et d'une ferme, dans une communauté où l'indépendance est mal vue chez une femme. Consciente de vivre à l'encontre des traditions amish, Rachel est pourtant heureuse. Puis, un jour, d'étranges phénomènes viennent troubler sa paisible existence : des objets appartenant à son défunt mari se mettent à changer de place, ses deux fils lui semblent avoir soudain un comportement inhabituel, et surtout, Rachel se sent surveillée en permanence. Quelqu'un, elle en est sûre, tente de lui faire peur. Peut-être quelqu'un de la communauté qui n'apprécie pas sa manière de vivre. Ou alors son voisin, Eben Yoder, qui voudrait bien l'épouser et cherche à se rendre indispensable. Ou encore Mitch Randall, un "étranger" à la communauté, restaurateur de vieilles granges, qui s'intéresse à la sienne... autant qu'à sa personne. Or, tandis que le passé commence à livrer des bribes de réponses, une main invisible se met à brouiller les pistes et à enterrer les indices. Une main qui semble aussi provoquer des drames en chaîne, comme pour dissuader Rachel de déterrer de vieux secrets…
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