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  • Auteurs: Kathleen Lindsay
  • Auteurs: Nicola Marsh
  • Auteurs: Philippe Jean

N° 159 - Sombres rivages (Kathleen Lindsay)

3,54 €
La Nouvelle-Zélande, terre sauvage à conquérir… Les premiers colons : des forçats qui jouent leur dernière carte… Parmi eux, Millie et son impossible amour pour Dennis. Sur ces sombres rivages, le bonheur triomphera-t-il un jour ?

Irrésistibles patrons (Collectif)

4,50 €
Idylle à Manhattan (Trish Wylie) Secrètement amoureuse de son patron, le très séduisant Quinn Cassidy, Clare — quand elle comprend qu'elle n'a rien à espérer de lui — décide de lui présenter sa démission et de réaliser son rêve : créer une agence de rencontres haut de gamme. Mais Quinn, curieusement, semble déçu et très contrarié de la voir partir… Afin de ne pas rompre tout contact avec elle, il lui fait une surprenante proposition : être son premier client car, prétend-il, il doit à tout prix trouver très vite une épouse bien sous tous rapports… Mariage surprise pour Lola (Nicola Marsh) Animer un enterrement de vie de jeune fille pendant une semaine ? Quelle aubaine, pour Lola, qui a bien besoin de renflouer ses finances. D’autant que Chase Etheridge, qui l’a embauchée pour cette mission, est tout à fait charmant… pour ne pas dire irrésistible. Mais il faut qu’elle se reprenne : on ne tombe pas amoureuse de son patron ! Même s’il vous lance des regards troublants… Une attirance imprévisible (Jennie Adams) Sophia est enthousiasmée. Elle vient de décrocher un poste d’assistante chez Grey Barlow, un célèbre homme d’affaires qu’elle va seconder pendant sa convalescence. Une chance pour elle de faire enfin ses preuves ! Cependant, quand elle découvre son nouveau patron, Sophia pressent tout de suite que sa mission sera plus difficile que prévu. Car Grey, qui se révèle aussi irritable qu’étrangement attirant, éveille immédiatement en elle un imprévisible désir…

N° 1689 - Une femme unique (Philippe Jean)

4,15 €
Extrait : La nuit était douce. Une brise très légère venait de la mer, juste assez fraîche pour chasser la chaleur accumulée par le sol et les pierres de la villa durant toute une journée ensoleillée sous le ciel sans nuages, de la Côte d'Azur. Marie-Elise et Geneviève avaient mis, sur leurs épaules nues, l'une un châle, l'autre une veste de flanelle. Seule Nora gardait sa tenue de plage. …

N° 1659 - Coeur de pierre (Philippe Jean)

3,74 €
Extrait : Dans tout le village de Brauvoy, on ne voyait que deux lumières en dehors de l'immense clarté qui venait de la place du Marché. C'étaient deux petits lumignons jaunes et tristes : l'un à la ferme des Furet, l'autre dans la maisonnette des Digard. Tous les autres foyers étaient obscurs, car la foule des villageois s'était répandue ce soir-là dans les rues, sur la route, dans les cabarets avoisinant la place où avait lieu le bal. La jeunesse s'en donnait à coeur joie au son d'un orchestre infatigable, tandis que les marmots contemplaient cette agitation avec extase, les doigts dans le nez, ou se poursuivaient à grands cris parmi les couples qu'ils bousculaient. Les jeunes mères étaient assises sous les arbres du mail vaguement éclairés par les derniers reflets des lampes du bal ; elles serraient contre elles leurs enfants endormis, mais elles n'auraient pas voulu être exclues de la fête où, l'année précédente, nombre d'entre elles, encore légères, avaient dansé…

N° 1712 - Prisonnière de son destin (Philippe Jean)

4,50 €
Extrait : — Atelier Didier Dyon ? répéta la concierge. Septième, face. — Merci, madame… Munie du renseignement, Régine attaqua l'escalier, puis sonna… au premier étage. C'était ainsi qu'elle s'y prenait pour forcer le barrage : quand on fait du « porte à porte », le plus dur est de s'introduire dans l'immeuble : aussi relevait-elle dans l'annuaire  le nom d'un locataire qui servait de Sésame ouvre-toi vis-à-vis de la concierge ; et une fois dans la place, elle visitait, un à un, tous les appartements de la maison. Le « truc » n'est pas infaillible. Ainsi, ce matin, depuis que, descendue au métro Montparnasse, elle avait entamé, par en haut, la rue de Rennes, cela n'avait pas encore réussi une seule fois : ou le locataire-clé avait déménagé, ou il était mort, ou il venait de sortir, ou il était en voyage… ou c'était le concierge qui, comme le signalait un écriteau, était « dans l'escalier », et risquait, par conséquent, d'éventer le subterfuge et de chasser, honteusement celle qui cherchait à enfreindre l'interdiction (affichée partout) « aux représentants » et démonstrateurs de pénétrer dans l'immeuble ». Donc, Régine avait essuyé toute une série d'échecs avant d'être, enfin, en mesure de prendre contact avec d'éventuels clients…
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